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mètres; et l’éclat de l’argent mêlé à celui du rubis ,
au milieu duquel on croiroit ' voir briller un grand
nombre de petits .saphirs, le rend un des plus beaux
poissons des mers voisines des tropiques.
Sa chair est'de bon goût. Les écailles dont il est
revêtu squt grandes ; ses nageoires sont arrondies; et
sa ligne latérale est presque droite.
Le spare sanguinolent, dont le nom annonce la
vivacité des nuances rouges qui scintillent seules sur
sa surface, habite dans les deux Indes ; Plumier l’a
vu auprès des Antilles, et Catesbj auprès des isles
Bahama : on le trouve souvent dans les bas-fonds
voisins dès rivages. Sa chair n’est pas désagréable à
manger; et sa longueur est quelquefois de sept ou huit
décimètrés-
- La lètefê'ttl’ouverture de la bouche sont grandes; les
deux mâchoires aussi avancées l’une que l’autre ; les
jeux rapprochés du sommet de la tête; et "les écailles
assez larges,.
L’acara est pêché dans lès rivières du Brésil. Il est
gros; mais sa longueur n’excède guère deux ou trois
décimètres. Sa chair est bonne à manger. Le prince
Maurice de Nassau en a laissé un dessin ; celui que
Marcgrave en a donné, a été copié par Willughbj,
Jonston et Rujseh. Les nageoires de ce poisson sont
d une couleur brune mêlée de jaune.
Le nhoquunda vit dans les mêmes rivières, parvient
a. la même longueur, a la même saveur, et a été dessiné'