
(C y p r in u s . Linné. La carpe, la tanche, le barbot, ÔCCr
Clupza. Linné. Le hareng, l’alofe, l’anchois ,.&c.
P o ly n em u s . Linné.
E x o c o e tu s . Linné.
M u g it. Linné. Le muge.
A n th e r in a . Linné.
Argentine!. Linné.
E lo p s . Linné.
E f o x . Linné.
F iftu la r ia . Linné.
S a lm o . Linné.*.
Loricaria,. Linné«
T h eu tis . Linné. *
S ilu ru s . Linné.
Amia Linné.
Cobitis . Linné.
Tr ig la . Linné.
MuLlus . Linné. Le rouget, &c.
Scomber. Linné. Les maquereaux, le ton, &C.
Gajlerojteùs. Linné.
Pe r ça . Linné. La perche, &c.
Sxicena. Linné.
Labrus. Linné.
J Scaru s.
Sparus. Linné. La dorade , &C.
P o ijfo n s ép in eu x . Syüême
<offeiix écailleux ; ligne latérale
; veflie natatoire ; poumons
extérieurs ou branchi
tiyftême de la .maftication
formé par des dents plus
propres à faifir leurs alimens
quà les mâcher.
Choetodon. Linné.
P Leur on cites. Linné.
Z eus. Linné.
Scorphcena. Linné.
C ottus . Linné,
G o b iu s . Linné«
Coriphcena. Linné.
E ch ene is . Linné. Le rémora , &ç.
Cepola. Linné.
K u r tu s .
B le n n iu s . Linné.
G a d u s . Linné.
Tra ch in u s . Linné.
Uranofcopus. Linné.
C a llion ym u s . Linné.
Leptocephalus.
S te r n o p ty x .
X ip h ia s . Linné.
Stromateus. Linné.
O p h id ium . Linné.
Am mod iies . Linné.
A n a rh ich a s . L.
T r ich iu ru s . Linné.
G ym n o tu s• L.
KMu roena, L, Congres, ferpens de mef ; anguilles,
P R E L I M I N A I R E .
i y .
lxüj
'Se rpentes . (
Lacertce.
Coecilia.
Anrphisboena;
Anguis.
Coluber.
Boa.
Grofalas.
' ''Poumons intérieurs véficu-
Jaires ; fyftême offeux inté-<
‘feeur;, coït avec, copulation.,
Chalcidæ. Seps , chalcides, bipess-
Salamandra.-
Grocodili.
D ra c o . Dragon volant..
T e jlu d in ts .- Serpentin», fpingleri, S ic .- Terreftrës.
Marin».-
Rance,
Paradox», caudàt».
Ranettæ. Rainettes.
Bufones. Crapaux.
A r t i c l e c i n q. u i ë S j
Des Oifeaux.-
A mefure que nous avançons,, nous* voyons le nombre des vffeeres
^accroître ; les extrémités fe développer, & prendre des formes plus*
compliquées ; en même temps que le fang acquiert plus de coniiltance,,
plus d’intenftté dans* fa couleur ;■ que les poumons deviennent plus-étendus,,
& que, dans-la même proportion', la chaleur animale augmente.
Ici nous devons considérer (ur-tout les habitudes1, les befoins & les fonctions''
propres aux'différentes ctaffes d’oifeaux; '* q.
Relativement aux' habitudes, les oifeaux font diurnes- ou nocturnes ; ils«
vivent fur la terre ou- fur les eaux ", ils habitent les1 montagnes ou lës>
plaines, les lieux fecs , ou les lieux humides ; ils fe nourriffent de chair,,
de poiffon , d’infeéfes , de v e r s , de lubftances végétales, foit herbacées',,
fbit de fruits, ou de baies , ou de graines; Quelques-uns font omnivores..
Les uns s’élèvent dans les plus hautes* régions* de là tr , ils-y refpireiït.
( & Le poifon des ferpens peut être regardé comme une forte de falive ou de fnc gaflrique qui accéléré-
là' dïfldlution des alimens dans leu r ' eftomac. D e nouvelles obfervations démontrent que lé nonære-
iés .ferpens venimeux . eft-très-petit ^, & -ne forme , pas la 50e parae-de Ja-daflysnnere-de -ces aaunausi