i,7 49. " couleur noire par fes mâchoires qui font beaucoup
oa^jîfew p l^ allongée^. Il eft encore plus carnâflief t^On lendit
.rnaêine ‘lotr avide de chair humaine,'
BeautéSuïè- Le bateau côtoyoit tantôt lune tantôt l’autre rite
du fleuve. Par-tout elles étoient bordées d’arbuftes^
communément de foulés ou de fesbans , cOUtir#%
lilèrons- ou d’apodns de plaideurs èîfpèCèS, qui apres
avoir ferpentd autour dé- ftgfïftt
pendre leurs qets - chargés de fleurs de di^rentës •couleurs.
Au pied dé ces .arbriiréàU-x flottôit- la pérficaire
auffien fleur. Je fâavigêOïS aiôfl daiilfs® prairie flottante
y ou paiflbit une multitude dë!feUtêrelleS j dènt
la couleur verte bigàfree d’un beau rOUgedë feu-,‘fài-
foit un effet âdmimblfe - PléS' loin les palMie-rs Revoient
leurs’têtes audéffûSdël?■ lèméiiers-^ i destfâfedé
s , dont tout Je rêfte du terrein dtOit êouvertVEnfin
rien ne manquoit à la beauté dè la perfpéélivé cfont
mes yeïfx furent: fëâréls dans un êîpâCe -de
quinze Iiêuès^ depuis le défort jufqii’aù village dë Bo-
Icol. Ce feroit la rivière du monde la plus'agle^olê ffi
l’on fl’avok a Craindre h tous Momens -les créëodËes1,
& quelquefois même lès chevaux mâtins dont elle-eft
remplie.
Rondier, é£-'j ! Le- palmier, dont je viens de parler, eft celui que
pece de pal ^ fottè lè de fé h h ^ f^
a plu aux françois dë changer en celui de rondier. Il
porte un tronc fort NgrOs de fort droit, femblâblé à une
colomne de cinquante àfoihcânte pieds de hauteur, de
l’exitêmité' dé laquelle fort tin: faifoeau de1 feuillès,
' «ail ) Jkfgecg âç\ banhinia non décrite. ,
- ( i f Carim-pana. nord. Malab, i . >n. téab..?ÿ.
.......... . II»
q u i, en .s’écartant | forment une- tête'Johdei ;Chaque " ®gfï§,
fohille iiepséilhtë uhiéveritaif de cinq à i®pieds; d’jciâ-
Voiture-qp o r t e ^
Msiarhf.es,des dh^bnnerifcdesJfeurs analei yiqui; font
flérifesalês :autresiqu’qn?appellelfemfilles;ÿ fefchdr^ent
deJrérits ;qui fo fuccèdent fans interruption pendant
prefqqe rtçute l ’année;»
la .groflèur d’un; melon ordinaârè niais* un peurs plus
sondsv ; Ils !eiqiehtrjenvelopp& dprceipbaüisBctriaMl,
epaifle. comme un fort parchemin*, .qui. recouvroit une
chair jaunâtr&vremplieidûlfikmens attachés à.trois
gtpsmoyéix: qufb en • oceûpoignt lermilienb Les, nègres
aiment hâaâcoup. ce fruit 3lçoe%^ÛIà.^iâ0r.f4 l à ^
cendrés , i l a un-peu dit goât du coih :fom.odeur efl
aflèz. fdrtù, mais agréable, éà
»I Ee fouie du Niger eft different de celuLH^Europe, Il saule,
a les ^figçsi^c, la fofl>lèflè?dé Poftmf^iiiî^s^s.feutil^
font très-courtes & arrondies par les extrémités. Chez
lesinègresiil portefo nom de k e B ih & k un arbre; d^
plus honqcés dans le pày s-;iès jeunes, branches paflènt
.entrcîlèsimaia^ dèsdbmés q f qai'CTnfo®t des cure-dents*.
AmcJéfoüÉ|deiceiia^ci.ÿqihé^^.Rm:' peu dfâmdrtùmp
dans la . b'çmche ; on emploie, les branchés .de gquelquès
autrpsi àrhresrde bcame.-odeqr(.:Geè»differenteà efpeçes
de cùrer-dentsîs^ppellenc dù ham dë'/oiciozé, < r. n
i foLeselèphan®^ dont ^voyoStousies jours un grand 5 Novemtre.
nombre fe tépahdre fuôies: bords, du deiive^ ne m’é* âu^ei^kon^
tcinuoientiphis;' Le:| novemihé comipe jê?mèipron^ëi
poisfdahs- les hads qui dpntiyisifadisDletjvilfogede.Da?.
j qnanfoté|de deursJtrâces :fott?ftMehesi
de lesap%l§,c(^flaihméntipèndantrprèsrde ddûx lieues^
K i j