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f-E GUINJEE
S É N É G A L .
eft peu de perlhnnes au monde-^[ui ne
Q f T l p M i f e t atee unë iriciifpÉibn qui MdéveV
^^^^p-loppé <8t le fortifié avec l’âgé. A quelque
*" ' ^ dem-nation que nous -préparent la naiflàïic©
o.u l’éducation, le goût dominant prévaut tcfujoürs .
& e efl lui qui décidé ordinairement du genre d’occu-?
pations qug^nous devons fuivre. Un^Ou^pârt^ulieri
pour l’étude de la phyfique ôt de I’hiftoire naturelle ?
qui fe déclara en moi de bonne heure, me fit coniïoîtrë
*1^® l'Otàt eéèldfiafiique auqup’hrtfaboient dellmd mes
par ens * né bon vehoit pas^SEnesf nclnâtions&q’abam
donnai un bénéfice dont j’étois déjà pôüW-û, pour me
livrer uniquemeh'tà l’çtiîde de la Natute..*
La botanique fut la partie a!” laquelle je m?attachai
la première , comme un<| désf’plus intéreflantes] tant
par fonutilité que pafx l'agréable variété qu’elle- ofire.'
La facilité qqe je trouvai danses levons publiques de
A