C o q u i l l e . -
Périofte.
SosïmeK
Battans.
Charnière.
Ligament.
Muféulus vulgaris majpr vRuinph'ii. j'Zoür!. Jam. pàg'. z<Sj.
Mufculus Papuanus cnCe Imidi. HiJi^jCon^hyL gag.^0^. pl.^L C. -
Mouie^ (|e la -recédésPapous, dont la çojlatoeft fauye ordipairemenoe;
celle-ci qui eft décou verte, ^éxp*afeaux yeux'leaplÏÏs bêuçj couleurs;'
d’agathe» afe: ^ dé oeiâeu^âl^ïcdèi^éïw ModJe fefthbpte
. daiis fà-ûperfieiëj^ècft&boïre dCcaifibniie deux d^riees à'l’èHdtoic
t de la charnière.1 Ejitfai ibict pagi jftoJ ' Tf,
Mufculus acutus vulgaris;, MaL Afutfepg-it.ciçcà' Cardines gibbus’, tandem
^dttoidçs^ lnajof.i^.umplïii. Klein, tent. pag. ,n ^ . Jpec. i. a,
Mufculus acptusjVtilgms., minof ; R^ujp.hii. -
Mufculus açutus ténuls^Jævis 'fùbpurpuiiüs'pLrftêh.^jKj^. \}%\
w ' :' h i > è £ . * ‘ l pholas Aïeux , quæ Mytulus Anatari-us. AfuJ3^nj*Béï>!èé ; Amb'Sih.'Joui y
^ I Lulat ; articülum digitirlangus jft^latus ; ettodmntur^&anatibus i n
, pfcam cedant;Rumphii.* fy.'ibM'P'r$6(üfyec. 4.
La coquille du Juilat a près de trois pouces de longueur,
& nhe fois un quart r^o||is de -largeur.- Elle eft ovoïde |g §x-
trémement fondée St comme poffue, de maniéré quefa,pr-a-s
fondeur furpaffe un peu falargeur. Sesdeus&qxtrê^mkésjf^nt
arrondies comme des côtés ; mais forr dos-s’étehd i ver s le milieu
de fa longueur, ep uneaîtç affez gipnde L,,qui s’aryon-»
dit en portion de cêrcle.
Extérieurement elle eft recouverte d’un pérfoftpr épais, légèrement
ridé, câffant, & d’une matière approchante de celiq
de la corné , qui fe replie en dedans de la largeur d’une lri
éhéR.r. tout autour de fejs1 bords, éxcepte dfosfofortieL.S.;
6ù "fe trouve le ftggmeîit.
C; Ëèfommét eft pèif élevé; il ^arbît'T®ÉiiS#WWihiLtôü¥
dé fpirale dans chacun des battans, proche-Hêfeitrêïtfltë du-i.
quel il eft placé, - Ç epx-c v font parfaitement femblables.
On n’y diftingue point de. charnière, mais feulement un
fiïïow'léger & fbrt long, qui fe termine dan S châGün par uiié
dent prefqu’mfenfiBïé» '
Le1i|ament qui ünit les dëÜx battans, çft prefqd’knlE*ïdë'gf
que^dgmigcde - h - coquille. I l, s&iÉ&iaf o pk&Wp'*.
mençant au fommet S , & va . fe ,terminer en ; L urrpeu an
dèlfouÿ da fou nîlë. ll -eft noirâtre ,-appIàtfo 1 d?unè épaiffeur
égale' à çellé -de la coquille' i l^qpel'ïê il s’unit fans forrir au
:p®H» &;faft|fonfoërëii dedfos, qüôiquftl
s^êhchalfe dans lés déqx Wons de la charnière.
On
On voit dans chaquejrjlttant, quatre petites taches, qui Mufeles.
font d'Ânoître^du’ils étoiéfo attachés au corps d§ J’animai
par quatre petits mufeles, jfönt leg’deux' plus ‘grands E. e. fe
trouvent vers leur extrémité fupérieure ^ & le's deu?: plus
petits S. i.';foni dans- léxqrêmité oppoïeei '‘j|l regne' encore
tout autour des battaps, une petite lignç R quiï^ fuit exac-'
têment à une ligne de. leurs borjs ? .ehe marqué IçTiëq où lès
deux lobes du manteau'Mu>r étoient' attachés.
Lç période,"qui enveloppe cette coquillç, lui communiqü.§:
fa f otûeur brune ; mais lorfqu’on fiadepôïiilîéé,' on y- dépou-!
vre quatre çojilgqrs r le^b,lanc_, .1 e .yioleL, lg.roiüj& le pour-
pre, qui t i e r i n e h T^h â é t S^P a r p f^^a n sTiÉç -
rieurerpent elle prëfçntp une nacre à,fond blanc, mêlé de
violet1,':qui‘prend, fuivaptles ‘iîic^napfohs qu’on lui donne ,
div®rfeÿriuanPPs de1 jaune & de vercfA
La coquille’du Lulat eft^ordipairAnpnt ’fixée, le fommet
en bas & l’extrêmité oppofée en haüt.'S'ps deux battans ne'
éentr’ouyrent que très-peus, mais cependant affez pourjaïffer
voir fon manteau. G’eft pne membrane fort mince, eptïère
& d’une féulp; pièce le long du, dps A. a. L.’S. de l’animal,
niais partagée fur le devant T. t. F. P. dans’toute fa longueur
en deux lobes, qui font divifés chacun fur Içurs bords, ep
deux feuillets très t courts, don t f extérieur çft uni-à la'ce-:
quille, fort proche de fes bords. Le feuillef intérieur portg'
depuis l’extrémité fupérieure dé la coquilïç jufqu’à la quatrième
partie de fa longueur, une frange T. t. compofée ’de
quinze filets cylindriques, fort courts, iqobiles, & difpofés
fur un feul rang.
!Les trachées font au norpbre de'deux. La plus grande £ ou
l’antérieurë* T. t. eft formée par l’éloîgBëmént des lobes du
manteau dans fa partie frangée. G’eft par elle'que l’eau,entre
dans te eorp^^i^l’animal pour fournir à fa nnuirriturp : elle
pft trois rois pfùs çouptç que 1^ çoquille,
La trachée poftérieure A. a. eft>percée fur I,e dos de l’animal,
dans l’endroit où le manteau eft d’utip feule piece. Elle
repréfenfoune ellipfe deux fois plus• 1 ôngue'que-1 arge, &
quatre fois plus cogite qpe la .coquille. Gette ouverjure've«
çoit l’eapyqui doit pafter ,par - deiriere l,eS' ouïes, pour leur
porter l’air néçeffaire à l’animal, Elle ne communique point
D d
Çoulçur.
A N I M A L,
Manteau.
Tràghêçs,