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La Musi-
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pemaicjue
CocKlea cofflQMèftjîi^f^Hinb&iîatâ^carididiflîma ^alî^àadofpblîÿfda;^
■ S pupé^s^ Jjj-feeis r.u£s.dîftw^€t®^^‘Ê^id* •
Co n u s bafeps lævis f meta Butyrivfpiris in Dafi-divifts, planis, ex nigrç>
flammeis, medio mücrônefeevi^1 acuté ; yentre(biuytàceG,ïper fe-
s ries mi'catùm nigricàritiürp inæquàliüm quàfi fafçiatuS'ÿ'Rumphi}.
;i,t X ÿ e in i t e p ty p a g ) ô ^ . J p e c . i . '®
Lorfqüb ièÿpoints quarrés font égaux, 8r qu?ils forment
des lignes égalësqui imitent Ips notes du plein-chant ou df
la mufique, on les appelle AÇuJique.
Èylfeims aitSdsiiï6fcpbïféSè'la?^iga^Sïtictfis àüfeis Se rufis»&BSq .-oc*’
dine artificiofo diftrîbuiis. ‘BcffuiAct.ipagi i zwtelüjfî 3 sàr.: -13a. "
Rhombus cylindrè pyramjdâiis albus, litfeiï’ldtis croeeis ihsêpfè'OTÎs cijr
cumfcriptuç, ipfo roftro purparafcentç. Liji. hijl£Çoîtëhjfctab%-f6q£
&ʧm ta.b: ifjrfmt ; r, ! m'y
Rhombusi maximus cyfàkdrd pyrataidalis alhus, quadrati? raaculisvâigrij
■ •■ cantibus circumfcripms , in medio tamën du£& pl'agulæ l>uicéæ'COtï|V
I : 1 piciuntur. 'EjufdV-iiiS. f* j jj
Volufea Mpuedi^, Ruinph71\tuC'p^Æ,vë'xfart‘.^^àb.4m ^ ^ . Z?.
Cylindrus nitidas & perfedtè 1 ævigat usfn|bpxSkfïî 8oTOffeau£t'u^^ oc*
■ dine artificiofo diftriijutif. 'ffîufc K irE ppgiÆ'f f t n. 131.
Cochïeà conoidea, nikbQne^fensJeéjppIanato, apice ttanfyerlîmrkffiaro »
m a g n a . nonderofa fubalbida. notulis hèlvaçeis, j A 'Eu'fis'per ferrntn
difpofiïis,' 3e!nSè drcumfet^Âà^SMM Indypàg., S tabv § ï ï 'Êtt. B. |
Co ch le a con'kidfe^'bafî côm'planaîa, lævi's , candida , quadratis maculis ni~
i ‘ j griçaotibus;,, afiqnando aibefcentibus, pë^liitteis :ifafâ|f|#is,p|r fjfa
riem elegantiffimè circumfcripfa. Eju0^iMd^ïiit, O. .
Quelquefois ces coquilles font naturellement blanches ;
fouvent êUéx le' ,devî|aii)K^t' ètt
Se la mfeV, îêürri'cbuleurs, qui' né font' que fo'pefnciéîies',
ont été enlèvées. On en voit beaucoup dans les cabinets, qui,
n’ont acquis .cette blancheur qu’apr.ès avoir été uféçs fur la
jmeule, & polies enfuite,
Toechus niloiicus ;albus?. ^fârjoy. MS’rjS}-. \ -
Rhombus cy lindro-pjrataiaaiis, læ vis, albidus ?xlaviculâ .acuta, (Zz/?. hijlj
’ . ' CàiicfrÿV. ' K ' ï ' ■
Rhombus tyliridro-pyramidalis, leucophseuj , ipfp roftrp viojaceo. Éjuf4t
ibid. t'âbï-j J 4; fig; i.
Çochlea,cpnoid.ea -, mjiç^pnataa læyisy ^}tjid? ®pice aUquantupj ftriato,
1 'Ç iia î t . I n d . pâg. & t o i , p Q x f i f t . H .
> Je ferai obferver en finiiTant l’énumeration des variétés
de cette coquille, qu’plie ejl défigurée dans.plufîeurs Auteurs,
qui en ont représenté les unes avec- le fommet ufe, & les autres
avec la lèvre droite, deil’ouverture pareillement ufée. Ces
deux défauts’, fuxrtout le. dernier, font ordinaires à Gualtieri;
&r peut-être le ,retrouverions-nous - dâps^lesjautfes Auteurs,
s*’ils avaient mis,comme lui, eni.yûe,cette partie dél’ouverr
ture des coquilles dpnt nous yni^ns'‘de;paf%r. Ainfi l’on ne
fera point furpris, que dan.s mes citations rapporté, à la
même efpece/deux ibirtes de coquilles ÿdônt l’une a la lèvre]
droite aiguë & le fommet pqintu, &do'nt l’aune a;le fommet
plat & ufé, & la même lçvr.e çpaiiïp.
La tête de l’animal renfermé dans cette coquille eft petite^
cylindrique., de longueur & dé largeur égales, & tronquée^
obliquement en'ï'éëlfoM' à fon extrémité T. Elle fait' -çprps
kv.ec’îeiGol, qui‘fort qu’elquefois du dSuSfe de fa longueur
j^ors de ia^cocjuille.; ’
. -Des deux ,côtés de la;,tête §c de fon origine partent deux
cornes cylindriques, terminées par une pointe trèsrcourte C. Ç.
Elles ont quatre foi»plus de longueur que de jargeur, &fur-
pafient „une fois lM|ùgueur <3jp-‘la- tête. ,
1 y-Les yeux font deux petits points noirs.Y. Y. placés au côte
extérieur dés cornes iiforg-pr°qhe• de leur extrémité^ Vers la;
fixiéme-partie|de leur longueur. Ils çe faillent point au de«
hors, & -fembtent furmontés .pârrlla pointe des cornes, qui
forme un petit cône'obtus y de longueur & de largeur égales;/.
Animal.
I a bouche eft un petit trou rand, ouvert au milieu d’une
large fpftefte B. creuféefousl’extrêmjté de la tête. Cette fof-
fette fait;, comme dans la Sangfuë, l’ôftiçe d’une ventoufe ou
4’un fuçoir par lequel la tfifef.s’attache facilement aux corps
qu’elle tq.uche. L’animal abefoiri dëee fécours pour faciliter
fa progreffîon & le tranfport de fa coquille , qui eft d’une pe-
fanteur & d’un volump peu proportionnés à la. pptitefîe d.e
fon cqrgs.
r Sommanteau tapifle feulementparois inférieures delà
coquillé., & fort par-deftus fori col fous la forme d’un'tuyau
cylindrique K ? dont la longueur égalera cinquième partie
de la C'oqdille & forpaffe un ©eu eellé,^©st Gbrties. Ce tuyau
icft fendu par devant d’ans1 toute fa. longueur ; il fe rêjette com-*
munément.fur la gauche,de l’animâl.
Tête.,-'
Cornes.
Yeux.
Bouche.
Manteau.
M