.11J
I I W M m .
IR. ^ ^ H p M B B g • * . . .
s«^*m, **m%'*OE jL *** *lf m *? * f *
P R E F A C E -
LO r s Q ü’À mon retour du Sénégal je travaillai à
donner un certain ordre aux ohfer’sHatiôris que
j’avoîs'lràites' pendant mon voyage i je né comptois
pas dê^ipdëiïïrîiè^Gerpar l’hiflo'îre des 'CocJiîillâ^s .,
& mon projet1 étôit de donner en un corps d’ouvrâge
complet tout ce-qui regarde les autres' parties de l’hifl
’hiftoire phyhqùéq triais comme le riornblfe èonfide^
rable dés'matériaux que j’ai recueillis^' 8 t qui renferme
des details tfès-intéreflàns'&; acquis par des-recherches
fort** pénibles, le feroit tr ôuvé ‘réffèrré dans desh ornes
tldp^tlàilêt j j’ai cïÉ-qOpil fèîéit a pippbs-de dôiïndr à
cet ouvragifun peu plus d’extenlion, de le diftribü'ér en
plelieurs parties de commencer par une de celles
qui font d’un goût plus'' ‘général : mdh choïx' eft drpnl
tonibd fur les Coquillages. Une autre raifon m’a fait
dlnner la préférence à cefte partie $ c’eft qu’elle man^
quoit à l’hiftoire naturelle, n’ayant point encore été
travaillée par l’examen des animaux, & j’oie dire que
la plupart1 des fujets qui y font traitds feront e-X:a&e-
) ment neufs poür raies , h l’on
veut, palfer pour autant de nouvelles decou vertes.
Le frëde dâhs’ lequel nous vivons » en a produit