Çjreiy.® bfcarçéè ^ é tJ4 f^^,^%fj^s;^ t'ÏI^s''
. avec desboni?
*.**■ a-ï''-'v■- ; , >'»■ ■ '■ Oreille quin’eft'âmérenTefle lia 'premïérë'itten^è a", qàs parce’ qu'elle
n’a épidte|rnë
ôté, elle montre ùne/robeÂarièlée'uev^erdwa dé grandes taches
• brunes. Ejujd, lèid. jfg. F: Cj ,. ; ^ <.• .-. , ••• I ■
Ayris marina levtrer ftriata, ex* fiavd virifflcëns r©ndèleriiv Gtcak. Ipd.
,pag. & tab. 6^.fig. , : ( ^ - ( ^ | :
Auris marina maximà~p‘rofoifclè fuîcâta, intos 8c extra argentço cæruleo
colot.enitensbpuaHnb.^/ï^A^’i^-i^v-Sv j .,
Auris ifttmalëvitërftriata, lucidè albidâ, plufquàm&xdeçmfbb®înH
bus diftiriâa. Fjiyci^ibid. jtgÿ’G. s " "1 V" vn <‘r
Auris marina „ftriis Ô èxapfe^&learis, eXc^njko-iargéntea' ,
Bonanni, À/a/tf. iJ’ id.jig. .2s> L,'M-. :.
Haliqris| ftriata mga% Xinrt, &n* $ * S- i - i.
Àuris marina. eài&éfi^épiérypfî&it'i liai tphsm zhl
Auris lævis : latiorj cretata-, granulata ;
n. i.._tabf ypfig-P ?$• * ” *JU.} *%ïH
Auris ftriatâj Km^s^ataMkn«* ftriata•i Kximphü,Ejt0 ilikid.^eci a,;«, t.
Les Frapm$f appellent, Ormier, Oreille marine , g^Qreillpr
> . de me&!;r
Les Anglais^ Mothey o£ Pepl. Lang, f ;
Les Allemands ? Meer Chreén. Lang.
Les Maldis *T;elinga maloli ott.Bia-iTaeat^O;
Les Amboïnois, Hoyjleiy Rumph- '
Coquille. ! La figure de la coquille <fo f 0rmder lui a fait; donner le
nom d’Oreilie j pàrce.qü’en: effet elle reptéfente ;affez bierf
l’oréiMë dé fhomme, Si:ô‘nl«'ê^Mei»a»iâéh<^dî®^I*Atua!i.
tion naturelle del’aaimal lorfqu’il marche, elië par oîtéomme
un baffin oyal ' renverfé, c’eftjà-^dire.dont la conyex té elt
tournée en deffûs^ ,Afors oq‘ ajppefçd^.jy^rs Lon
Spires.
élevés pour former en cet endroit une elpece demammelon
à trôis etagès. On voit encore un «amg'de'-'tropy^ijsiids^di^
pofés fur une ligné courbe, parallèle a la longueur de la coquille,
& à une diftknce àpëu près ëg^e':dëfon bprddToit &;
du milieu dé fa largeur.' Cette rangée de froüs, qUifont au
n o m b r e -deViCeptjfetprmïpe!au miliémcLe,farlongueurjmais
elle êft.continuée,par un grand nombre de tubercules ou
de mammelous qui fuivent Les bords & ne finiflènt qu’avec
0 U N I y .A L y E S,
le premier tour de,fp'irale. Ces mammeloris font comme les
vertiges des trous-.yj’.en ai compté, près de plaquante. g
Le r<efl§ ;de la^furface extér eure dp la. coquille eft coupé
par ut'npmbi® infini dé filions qreufé^f ^gefesïenti
proches les uns’despkutres. Ils ont-tousjlpur. origine, aù fo.m-
met>, 8c vont en prenant llfpfourbure d’un demi-cercleg lé
ÿé^andre fur tquteslqs pardes-du bord^drpit|&e\ïa .coquille,
où ils fe^pgrdepLt* i ; • ■; ^ m ^ » 1(>
Quant a fa furfacerntedéure j .ellé eU d’unemacre dü pp,li le"
plus beau &, le,;plus ïuifa^tj’,'Les-trpi^ tours 'd®: fpiraîç jqui
font en relief'audghçrstdjq.la coquille,- pjif giflent ici en creux.
Le bord. des_trous n’efl: pas non plus tranchant en dedans
comme.il l’eft .
Çet^cojquille efl; aflçz,epaiflé, & l’on en ttpu^éâe^i^
férentes grandeurs.* Les plus grandes!que j’aie,.vu avoient
quatre pouces 6c davantage-de longueur, deüx poucês 'un
quart de largeur, & environ un pouce;i|e"iprtefp^aeur., !
•■ -L’ouyerture eft^ale putelliptique, à peu près de la forme,-
& delà grandeur delà coquille^a lèvre droite efl c^ujbée en
arc, m'nce dans -lés»j;ej^a.es^épaiflGb dans les vieilles,j6c,trah>!:
ehïintë fur les j|ord,s.:,-l^ lèvre gauçhe au contraire e^épaiflé j
repliée comme un large• bourrelet aq dedans de la çOquille j;
8c nacrée commè elle. Si l’on met cette coquille au nombrël
de celles^qui font tournées en fpirale , pomme on ne peut s’en,
difpenijçr, fon ouverture fe'trouvera pl^géë:à de to.ut
le -copp/ des fpiresj 8c les fpires elles-mêmes prifés du bord
drok| de l’ouverture, tourneront par derrière l’animal-en def'.
Cendant de fà droite’ vers fa gauche.
. Le fond de laxouleurt'de la cqquiilej efl rouge de.chair aü
dehors-, quelquefois, fans mélange , 6c fouvèntv.tç^rbrér de,
blanc. L’efpaçe que les-troùs'laiffent éntr’eux eft rempli par
Une ÿeti^e ibandje blanche qui va;fe perdre dans, le’bord voi-
fin. Au dedans elle eft recouyerte d’une nacre éclatante, dont
la couleur tpafle alternativement du blanp au,yej|d,> & du
yerd au vif|et , fuivant les. |ifFérpns afpecfi;s fous lefquels
el’le fe préfente*,
î O n remarque -une fi grande yariété dafls la forme 8e la
pouleuttdé-la.ç,îquille de* l’Ormier,qu’il n’efl pas étonnant
quelles Auteurs en ayent fait trois ou quatre efpcces diffé-
Ouvetturej
Couleur«
variétés»’