S E C T I O N P R E M I E R E .
CONQUES
D E S LEs Cacjplkges Bivalves paroiflenLfoânêy tjjüjji
diiiy.agCiiéeâparjÈa.pptorf à la figure
^vï)a1^k^^ÉÉfefe'Oîi voit ceux qui 7 * • r
ont les deux lojæsüu manteau féparqs> L’Huître.. G e n r e i*
dans tout feur- éontour : Jelteeft j
La;feponde réunit-ceux dont lesp - ÿ
i & [ e oe * * > forment t p i * Le Jambonneau, 1
©uvertures-ians aucun tu.yauitels.aont j
J Bans îa troifidme Je rangent ceux | L a | g | g . | 4,
dont kx deux lefbes du manteau for-# La^TtIlCine - <
ment trois Oüvettùres.,. dont ideuxV r $ft[ J§
prennent >la figure d’un tuyau allez l £e SÔlEn ^
long : tels font J * * ~
G E N R E L
L’ H Ü I T R E,
F n parlant de la Nerité fai ditquë c’étoit le Coquillage
qui approcho.it davantage des Bivalves 5 & il ,me ’femble
que l’Huître eift cëlurdes Bivalves qui s’éloigne l.é moins
des Operculés;
ï i . I £ G A S A R. PL 14. ’
LJHuître cTarlïrë. D u Te rt, hift. nat. des A n t i lL v o L ^ p a g .-O i^ '
Offre um radicum fivè lignorum, Malaicenfibus Tirant befàar vêl Tïram
ahkar à id tl, à r t . i . ià b -
OftrëwH. roflfainrn cottrpianarnnï, lamellis divetfirrrodè' lînuolîs cbm.-
padïûm, rügpfuRi ^ ex albido viridefeens. Gualt-IhcLpag..& tab. roz.
' Ütt. D . ! ;
Oftréütn ltongunrvradicum. feir.lignorantr Tirài» Beloa*, Tirana Aceap*
Rumphfi. KLmstemrpag* yi%/Jpeiïi. - tab. QPjNpj^J ■
- * Il y a plufieurs efp'eees d’Huïtres au Sénégal ; mais on n’en
Voit point de plus commune que celle queîfon fert fur : les
tables j & que je nomme Gafar. ç.
Sa coquille a ordinairement trois pouceséâe longueur fur
une largeur une fois moindre il n’eft pas<rare d’en voir
qui ont fix pouces , ou même davantage. Elle eft allez mince,
& repréfente un quarré long, fort aplati', obtus à fon extrémité
ftipérieure; &,qui diminue en urjei pointe arrondie
Vers hrchamiere. Sa forme eft:: toujours e^y^hement irrégulière
pardes-mlis. & les .contours qu’elle'pretodÿ de .maniéré
qu’il eft fort diffieiiet, ou mômeprefqu’impoïîrbler, d’en
trouvtÊ-fdeux femblables,’ Sa furface extérieure: eftlrude êc
comme raboteufefpar l’es James dont elle^eft-formée, & qui
débordent fenfiblepent des., unes* au. deffas^ës>a:ütrqs ‘ ;lbn>
térieure aü contraire: elhfuifante & d’un beau poli. Oa voit
quelquefois fur^lâiprdmi&ë*un, périofté,>livide & fort miHce.
Le battant ippérieut G eft mincev, ■ a'pplati, & rarement
creùfé, mais toujours inégal grondé comme le battant-infe-
rieur auquel il fe joint ppfaitëment.
Celui-ci D ’eft: toujours creux, mais ,peuiprpfondiÿ,plus
grand & plus.épais que lqpremier. ' Il porte àf&n extrémité
poâérieuré, celle où eft la charnierey une" efpèèejde'talon
Ou de fommet S formé par fes: bords xjûiï fe ■ replient en dedans
: dè-replifait un creux plus ou moins.grand dans diC
EérenteS1 coquilles:
r Sur la furface applatie de ce repli y on apperçoit undeger
enfoncement dans lequel.-eft logé Je ligament .à : relTort L ,
qui fert à joindre fortement les deux coquilles & à les écartèr
l’ùné de l’autre. C’eft une matière coriaceverdâtrej tirant
fur le noir , fort, applatie, fpon'gieufe vêrsrlê milieu , 8c
capable de faire le reffort pendant qu’elle eft hunïeçftéei dans
l’eau, mais qui eft dJme grande fragilité quand 'il-tyient à fe
deflecher» Ce ligament h’bnitre point dans l a cavité ÿei: la coquille;
il eft renfermédans le talon.^ fans cependant s’étendra
jufqu’à fa pointe, où il laifte un petic> vuide^ ’afin; qùe-lès
battans puiflent.s’ouvrir librement- ÎJfnè pairoît pas au dehors.
On ne voit ni daiisJ’un ni, dans: l’autre battant, aucune
dent qùipuiffe fairè l’office de jC.harnjere, & ils n’ont aùcune
•apparence d’être contournés en fpirale.
CQQUILtS.
Périoffe.
Battans,
Sommet,
Ligament,
Gîtatniere?