noir jusqu’au huitième ow. neuvième rayon j ensuite'esBbe èst\blaïiche :
la seconde est grise ; 'ainsi‘-qu#>% Caudale. L‘âi.pectorale,*Jlt'.grise
aussi, nabis elle a du noi^vers sOnbOrd. Le»|;rf ^ ^ ^ ^ ^ r ^ 0 i e Sont
r blanchâtres. .
Mais Cette description ne rend pas les ccfulèurs du'-povssohqfais,
qui sont beaucoup plus briMantes; Selon M. MitcfeMl, le milieùdu
dos est verdâtre et lefejcôtés jlombés ou gargéde pigeon. Tout le
dessous est d’un bknc d^îgent très^Glataut, é£'des taGhes des ©èités
ne sont pas noirâtres, 'mais ja unes.
Nous en avons des individus /de^ixthuit^iquçes de long^ët-oest
aussi àoeu près la taille que M. Mitchill donne à-feipètie.c ’
Ce poisson arrive dans les eaux au mots
de Juillet. Il descend p,fus. bas. au sud^ÉpH^Kvu.y^d^iïs
une <GOlfëetion de dessins faits au Mexique, une figure qui
ne- tnejpatait' pas; en différer»
Nous avons reçu du Brésil un sqtielette que tout amnonfeé' être
de ta même espèce ; il a les mêmes proportions,-les foifemêsdï&ts,
. encore médiocres et un peu’bohiques, lës mëïïré's fermes dé(pmies
opërctoïatres efcdesmêmes nombres de rayons. Son crâne n’af^roint
ae trous, entre le frontal ét lfe pariétal. Sa trète mitoyenne s’élève
plus que les latérales. Son épine a quarante-cinq vertèbres, toutes
aussi^Mutes que longues, drêus^ésue chaque c&të de deux fossettes
; i£ Compter d'ë’Ia neuvièmeeHe's commencent f^Voffaes
ân'hëSùx en, dësscûîs ^ m,a>s très-petits j As'donnent ûbhy sevs>
ëpineusfes descendantes, qui portent les^Stes ^tiîëdeürèS, et qui
vont eû s’alongeant jUscjti’à la vingt et umèmé, x/u commence la
queue, et où'tes âpojSiyses sexonUnueM comme àifordtabïréi
Le T assard roÿàjl,
rëgaSe, nob. -, Se&mber jregaMs, BI. f
M. Ricord vient de rapporter de .Saint-Domingue un
tassard très-semblable au précédent,
ï i3et qui-a de inêm© dix-sept rayons à la première dorsale, et la ligne
.latérale .dfiscewdmti obliquement et serpentant ensuite , mais dont
las.4en.ts, au lieu.d-ètte coniques, sont fiomprimées et tranchantes,
3>rfime<lïans le gland nombrë^oes espèces ,du genre. Son dos est
plomb e fse s^ an cV^ s^ ^ e^ tfe «argentés. À la hauteur de sa pecto
rale i&gnèle lo î^ d u flanbyn ruban brun ou jaunâtre, qui croise
la lrgn“e :latérale. Âu-désshs à au-dessoùv 'defee ruban sont des ran-
> géèsbde taches de même couleur (et la^plupart oblongues. Sa pre-
mfère dorsale a urne-grande tadbe noire, allant jusqu'au huitième et
a sapectoralu $
* 'd n ^ 2/15—Vin ; A. >2/B -JviHtyC- n.et 15; P. 23;$. 1/5. u
Nos, indiyidjus.^pnt. longs de dixdmit à vingt pouces : l’espèce
Elle est très-estjmée.1 ..\r ’ ... 1 ■
Il douS| p a rtit ,q u e ^ s ^ cette espàce|en par|iculier qui
réssepible le mieux^au tasord ouK'tezard> dont la figure,
lWss|if)êd Plumier, a paru.dans l’ouvrage de Bloch (pl. 333)
sdîisj ïe nom de scomber regalis; car cette figure marque
flanc dnfe W d e 'c b n tin u e , avec Une rangée de
taches'âu- dessus et une -au-idessouç \ cependant elle n’a
pbint de 'nbïx à'M''première dorsale, et la ligne latérale ny
fa|ÿybomt de .serp.pntçmens : mais je crois que c est Blocb.
qui a ajouté la ligue latqçgle^ , car ,qlle n’es,t pas dans le
dessin de Plumier. On trouve dans Sloa,ne1 une indication
qui semblerait aussi se^ràpp©rt„er- à ce p o ^ o n : <C est^ son
scqmber linea et maculis litieis, qu’il nomme aussi en
anglais spanish-makarell; mais les mesures quil dc/nne
(huit ponces ,de long su,r deux pouces et demi dé haut)
indiquent une<. forme bien moins alongée, à moins qu il
n’ait compris la hauteur de là dorsale.
1. Jam., t. II, p. 284.