carène, Oû voit cette capèae ànsa. seconde figureftfe t«rdiz
(p* 248r)$ mais il n y a .pas non.plus'assez de rayons à la
première doitalé;
Blà?h (plv 3|^ ) lui donne trop de raiéSïSur le dos, et les
dirige et les infléoMt d une manière peu conforme ai la
nature ; il semble aussi représentéeéleux préopercules ; l’un
au-devant de l’autre ; mais pour le,reste sa- figure est assez
exacte* Ætelfo deiMj Bafiaesqne1 est trop alongéer -
L a P é l am id e .du C h i l i *: .
(P e lam fs thiliènsis, nob.)
? Lpeéan’Pacifiqiie a aussi-unef pélariiidp qui ressemble
beaucoup é p e lle des mers d’Europe, mais qui constitue
c o u d a n t une espjce, distincte. M.,dÿDrbignyv l’a e n v ié e
^ p ^ lp a ra îsp duÇbili : ellg ^ porte iejgLMi de b o n ito , qui
est enppspagnol, comme nous-veuqn^ dp le dire, celui de
la pélamide commune. «
Comparé avec soin à l’espèce ordinaire, ce poisson a les' écgilles
&É peu jjlüs grandes, le jxréopéroule plus Wgg;jet jarpins arrondi,
î : ;et lfispectgraje^ sensiblement plus lo q u e s ; ,elles, soût d p Senti^ipç
de iTlongueùr totale, Le nombre des rayons d e s ^ u x dpr££iW,eKt
moins considéra»]e.
D. 18-1.2/12-1-V ïîlj si”: fv ^ 4l ÿ l p . - ^
dosy?t ibleuâtre .et le ventre argenté. On ne, compte que cinq
■ ou si^^ a ies^ ^ l g do&; elles sont moins Q^Uquess, et^s’étendçnt tpui
le long des îlanes^presque parallèlement a la ligne au plos’excepté
la dernière, qui se peqjj sirfargenfcé"d^s'flancs J vS-à-vi^là fin d e là
première dofsalè,
Llndi'vidü'esT long -Ile fingt-six pqùcésT / ' 1
1. Caratteri, pl. 2, fîg. 2-
Cette1 espèce' paraît traverser lâ mer Pacifique; car ellë
est iipi^sféntéë'^dFünè manière tjfèg - reconnaissable dans
l’imprimé japonais1 sur‘*les poissons dont nous avons déjà
parlé plusieurs "fois.1 "