8 2 • L IV R E IX . 5C.@MRE#ftÏDES.
h a B qkite. a. veI tre rayé.
Ç^Êbyrmus pelamm, nob.; ScSftber petamys, L m n .) \.
La bonite à ventre rayé* très-différente de, celle à dos
ra y é, d o n t hQuS'fp'arléroins plus bas;, e t q u i e st u n e p # a -
m id e , J ^ t b é à u e ^ p de la tb o n in l p o u r les f e rm e s ^
riMniMnins sa tête est plus, longue, son jnuséau plus pointu*ej, sou -
c o r s e t plus étendu ; m a ire s ^ t s sdW-éomràe.dans le thon et
dan^jtethonine, S^hajitjur aux pectorlps est quatre fdJS;dans sa
4W u p r . Sâ4êle n ^ e ^ ^ è r ê que troii:'* i i et qüelque ch^fé, ^ a
& ,à la nuque en hauteur un peu plus dès: deux tiers de >a longueur.
La première.épine de >a âçrsaleest èti%ore up peu et plus
haute qug dans thonine. Son corseler est aussi plus étendu sans
-l'être autant quefedans le thon. Son éahancrure supérieure que
jusque v#-f-vîs^ia huitïëmeépiiüdeJÉe d o tale , et"elle est fort
• épmte. ISWéfeai^és'qm é||f6rment lag^rtra $âpéri-eure, te léng de
la dorstfte;;rsont. plq^ fortes, ontffeur partie apparente, à -peu^près
*carréè, et!figp>ent ainsi quatre ^ r d n | rarr^es régulières'; mais au
fait-elles sûnrdeùx fois plus lèhguès que hrgesrLa longueur dé sa
pectdr&le est siéfbis^t demie danè k< longueur totale; l’étenduie du
sa eaudtdte dtakfc pointe à |autre n’y est 0.&e plus du trqis. fw« w :
Eh^5 _ Ai ?12—vhj Étgjfe
La Qouîêur de ee poisson le fëit a^étn^distïngueiî. Son dos et
‘ ses -fiancs sont d’unf bleu briHan| d’àc^rfavêe des- rèftets é#
r o ^ S o^ ^ bd om » est argètetéy amç bande® longitudinales
hruRess quatr#âe: c^que- côié, qui ^tendent depuis fe^orge jws-
^ qg& la çauclale, o,û|fe sepefdèntâu Joins, que s^as.k;paFtie,mipqe
f dè la^ueue.
, u n in d iv id u d e cqgie espèce , long de: d e u x
p ie d s ,e t d em i, d e Rio -Jan éiro , pK M & M r a p p o rté pa r
M .fe d u c d pR iv fô li, e t deux atitreâ d e deu x p ie d s , a e la
m er des I È S | , donnés pa r M. Dussumier. Gomme ils «ont
desséchés ou vides, nouS^a vous pas pu eft faire Fanàto-
mie, yet CôÉtiài'efâo'n, qui lavait faite, dilLavoip.pe$du‘les
n o te ^Ü ll en a¥àit prise* il s® souvent seùlemenf^u’elje '*
était assez différente du germon. dNous trouvons du moins
dans »Ôsbeck quelle a une yessie natatoire.
ici la bonite des tropiques dont presque ions les
navwttemrs parlent, et qui est si célébré par Iâ^èba£se
quelle ddnn>e< >en g rad e s groupes aux poissons ^folans.
Osbéck l’a très-bien dpci^tedanf s o j^ ||r a g e (n;°"B|.^. 87, »
de l’édMônÉ allemande) |p«Ê #’eût*sur s a d e s cr ip ti o n et,.fur
celle de Loeflingy'qufil iylÉit^TèeuPén manuscrit, que ËiriS*
næus a1 établi s scomlær fieldjmisrmf
Osbeck avait vu ce poisson eimquittânhtt le#*Canaries.
Pernfètty Fl vu eg. revgnlriA des liltouinës’ en flfiane#; et
en donne une figurel^feconnaissable, quoique ïnauyàisej
et dont je ne parle que paree que Blocji l’a rapportée niai
à proposù son sc&rnber rUrd^oulbdmite àdonrayé (notre
pelamis ^«rJ^feGomniersoM.mVait aps^i très-bien recquéra,
ét en aVait laï'ssé Unë de%€riptior%^arLitément dé#ill'ée,
ainsi que plusieurs dé&sms; tnâisâl eut lé malheur de confondre
l’espèci^avéc i&ellé; de la boliite fedos r^yl|q>oisàmk
si différent qu’il appartient mêmye, à un au|re sous-genre|
il a'été fidèlement Gdpié surCèpoint, qomnie sur M ut le
reste, par M. uè Lacépede pvi-4^ qqi même^pour
représenter la bonite en général, t^C par^bnséquènt l’é^ècè
à ddS r-ayé comme celk àivefftre raÿë, n i faif graver qu’uné
dés figurés laissées pa^Coïnmersôn et la moins correcte des:
ü p p PH 1;îII, pl.'^Uy; 'figJ '
J. Mwtnrre é®!©»” .p, a ^ ; ‘e t les éditions suiyante«.
2.'^eriïètty y ^^.1. 6.