Mai^usqu’au^mois^def Septe>mbre;Iia femelle pond au mois
d’to u t des teufâ blas^nch^t^ïenveloppés d?un gluten rous-
sâtre.
Je ne doute point que M bonitQÜ.ne soit 1 e?sconiber
bisus de M. RafinesqueVLa figure, en est très-semblable,
et tous.ses;.caractères)sont les mêmes,;excepté?que le bisics
n’aqrait p lin t dffltaçheslni de lignes^ mais parmi nos individus
im |n trouve aussLquelques-uns qui en sont dépourvus.
Il sbt pr^n'd grand nombre? ^ i^ ^ k b is u s dans certaines
thonaires de ^Sidfclfe^ 3 a longueur ordinaire sur cette cote
s l i ’ian pied. Il est péri'estimé étant frais, et si on ne se
hâté d é ’l’apprêter, il sé^oétohipaBe prômpteffiefitj mais
saM^ c’est le meilleur de ^out tejgénre.
@n le noiurnWisins le val deMafczara bisuj mbisu èt
tunnacfiiw; danS'ifelüi de Démoûa, appicàtu^etâ Catané*
ainsi- que|dans fev&lde*’l%tô,? fgàmir'uH pêcheurs' de
MeSsino4’oiit uommépresuntune k*M.rBiberon. !
^ 'G ^ lôm de; bisûs -tient à-ëeux de Mséi’Ct ’dé--bisoJ par
lesquels les Provençaux et lesXEsjiagnols désignent les ué-
lamides ou* bonites à dos rayé de
M/®urillard a^aussi^entendu appeler S i poisson' bonite
• '!(j'èst un des individus sans»taches qui est représenté dans
la grande Description de l’Égypte (poissdns, pl. 24, figi 6 )
sous Je nomwde. maquereau unieolor.
La mer Atlantique possède d a n s a s , parties chaudes
plusieurs soombies qui* portent .les mêmes ; caractères» que
felbonitou de la »Méditerranée, d^ous■ en avons reçu un de
la- Martinique^ par M. Plée, qui ia' les'mêmesffdrmes y les
1. Caratteri, etc., p. 45, pi* 2 , fig. i.
8.
Rafinesque, Indice, p. 20,
*4