466 LIVWr IX;? S(GOMB É ïf©ïDÈS.
disposées trtûsàtéois, et^äptre -^es^ont des petitespkques fcdents
en velours /ras..,
Iiy a une demi-branchie attachée à la face interne dedèMuncde,
et cachée en partie par un .repli de la pea®Jtlmpakisi
Lesurscapuîaire se montre+un-peu au traversée la peau comme
un. os long etéiroiti B'ailleuÂd’^ au le n% pëint^d’atoule piar*êu-
lière.
’ :#JLa pectorale a un peu moins dû quinzième, de là-longueur totale ;
elle s’attache au tiers- inférieur d e » la hauteur ; sa fortné ésntrès-
..extraordinaire,-en ce que^ce sont^se^ayonsnnfépieurs-^û^Âdes
plus longs. Il y en a douze en tout; les deux premiers sont simples
et un peu arqué^|f t . n’ont pas plus^dg; moitié de la ' longueur^ttles
derniers. Les dix autres sont fourchus-et articulés: ; g
Le bassin est un stylef grêle suspendu dans les chairs et îûad-
hérant point a l’épaule y* un ie sÂt-'au travers de là peau. Lés dfeux
écaillif, dcmi-elliptiques* et obtusea^quitienrient lieu de Ventralés,
adhèrent à sou tiers antérieur et répondent sous le milieu des’ pectorales.
Leur,longueur n’est',queduhuitième de celle des-demiers
rayons des pectorales.- ggÉ
La dorsale commenoe,dès la nuque. Sa hauteur est du-quart de
Celle du corps. J’y ai constamment compté-cent deux ou cent'trois
rayons, tous un peu flexiMes, maab^sunplés et ^ns:bpanches®i*afti-
culations.’ ..
L’anus est précisément' aq milieu de là longueur 5 dÛpoisson.-
fe fA« une?peûtc;'distance*cn» amènes est* une écaille triangulaire- et
mobile-, maisd’anale ne coxnmence<que;heaucoup plus en arrière; ài
une distance de rextrémité.postémure qui équivaufn un peu-moins
du cinquième deda lcmgumr totale. |
„ Elle a vingt^inq rayons ;<mais les antérieurs sont si .petits et si
grêles,j:qu’à moins d’une; grande attention,«on est exposé à neÿas
les compter. Les autres grandissent un peu, mais n’égalent point
ceux du dos.
Cetté 'nâgeoiresse'poiBtûiun qpcuplus en a»iè|!C «queda dorsale ;
intervalle .entre»die,et knoaudaje est du cinquante-sixième de la
longueur j entre la dorsale et la caudale il est à peu près du cinquan-
CHAJ». Vlil tÉ P ÏD O P E S .
tième5é%^petit bout de qüeqé est très-timnce ; hauteur et son
épais^eur^ça» il.es^àjspeu près carré, ne sont, que du quart de-sa
longueur.
La caudafo est fourchue V et dm: vingt-quatrième de la'longueur
totaleÿdes >loBe^soïit«p@intusv-'ét-'ses rayons entiers, au nombre pr-
idflanH-ii?e d« dhhsapti j^M-reaiiEÛiiB^lF‘cÉagué bord par sept où huit
rayons décroisseais.. M p I - 1 ' '
,,. jjAucnnejdeCes nageoires n-’a? d’écaillcs^La membrane de la dorsale
ÿCt^d!©,l-amal© .est même?as^&êfe. Ü
,On-n’aperçoit dléeailles’sur-aucano partie du poisson, et il semble
simplement qulont-lui gît appliqué i^e^rès-mirice-feuille d’argent;»
par la macération cette espèce dn vernis se* résout en une sorte de
poussière argentéei
' .'.'La.ligh^latérale est un sillon étroit, ou un® strie qui s’étend
presque ent lighc droite dcpuis le haut de louie iusqu’amhout d e
la queue ; aprèsavoir'descendu: lentement , elïe>suit le miüuf-dc la
hauteur du <corpsi, if ' - Ü * '* w p p W P
L’iris de Jfeeiheist d’une .belle couleur d’argent. Les nageoires pa-
& raissent avoir été transparentes ou d’un- gris jaunâtre; il y-a une tache*
noirefsur leixordd^a dorsale entre les trois premiers rayons,-et le '
bord continue plus en arrière d’être un peu noirâtre.
Notre plus grand individu est long de-six pieds; nous en avons
de cinq pieds1, de quatre pieds" et demi, et d’autres beaucoup plus
petits. * t w
Le foie de ce lépidopè est de grandeur médiocre;-sa vésicule du
fiel- , attnchée au lobe droitv'est au Gontrâire 'trèSP-longue et assez
large;-elle: s’etend' Sur près dutiers dé la longuette de l’abdomen.
-L’estomac est un long sac qui en- occupe près-des-deux tiers, se
continuant avec foesophage et se terminant en pointe. Ses parois
sont épaassWs^et ont intérieurement de fortes' rides' longitudinales ;
1®;pylore est'à' peu près à moitié, d*e sa' longueur1;' il e'nqSart Une
branche d’inte'srins qui sé dirige en avaht, et aux deux cotés de
laquelle sont rangéevin%t-trois'coecUms asser considérables,.très^
distincts, et dont chacun communiqué isolément avec le canal.
Celui-ci se recourbe ensuite en arrière et se rend* à l’anus sans autre