L e T aSSARDjA ^NDESvJNÏi^ftOMPÜES, 7
t% m b iüm interPtiptum, ricilfâ fj
3N©us avons reçu' de P o n d ich éry pa r M. Lesche»ault u n e
espèce voisine d,gs.deu£ p re c ed en te s, qu i së nomme dans
le pays vanjie ra tti.
Sa -têt,e est plus.jcpunç, à. proportion, j et contenue six fois dans la
longueur totale. Ses dents sont plus petites, plus grêles, un peu
fo'oinScomprimées et très-pointues : il vïeù a énviron' dix-llxdtr a la
! mâchoire supérieure et seize & l ’inférieure. La ligne lâtérale ekLà peu?
près droite; «et surtout e f f e m t e d i n t i p & g H a e i f e a
lieu, dans leiCQmmerson^n, sous lespreniièr esfapsses; nageoires jnaais
elle serpente un p eu 'su rk tiers pp&témurÆïla queue, ,
Lj> première, dorsale fâ^^maqyaisJ é|aî^.'et tejn’ai pubieu^omp-
ter ses rayons j cependant il peut y en «avoir seize ƒ là seconde m’a
'paru en avoir dix-sept ou dix-huit, sans compter une épine'cachée
dans son bord aatérieur,*,I^ fô ^ eh a 'aîHani.'Il y à neilf ratisses nageoires
en dessus 'et sept én dessous. Les taches des flanhs sôrifr llis-
- posées sur trois rangs, qui vont en droite ligne dé l’ouïe à la qUeue,
en croisant obliquement la ligne latérale, etell-es sont^.tputes aton-
1 géesdansde sens de la, longueur dupoisson, epmine si,files formaient
l des, bandes inp^rempuje^; fi
Dans l’individu. dessçclxf ,ehes>.paCTS&ent, aiDsi que le dos ,, d’un
brun roussâtre ; mais d’après la description de M. Leschenaull, le
dos etTleVtaeliés doivent être verts.'
Notre' individu 'esi: long de quinze pouces.
L’eÿèceqpàrvîfent a febndicbérÿ à tine longueur de »fois pieds.
Elle passe p o u r tres^délicate.
; L e .T ^ ss^ r d a jGOGo t e l je t t e s . ,
. libb'.i; ïSètfriï&ef'giittatits, BI. Schn.)
tli*e wing e ram de Ru^el'Q;. Ijl', fig. i34.), d o n t le n om est
manifestement le tnêiüe qiie celui d u p ré c é d e n t, en est ën
effet treS-vB&ih..
§à former le nombre de ses fausses nageoires, sont les mêmes ;
’ cepk4 de, s^s jaypnsi dififôrent très-®§u ^,6, 7 ; D. 16 r# 2 0 ^ ^VIII-;
À. 2P —VIIÆ 3.0; P. 20; y^Æ^^^&fulement ses.tacbesfspnt rondes,
au fie» d? è t ^ .faIo»gées-, I. jj
L’individu qu’il décrit çtait.lopg de dix-sept pouces.
d i t - i l , u n des poîfêsdhVque le s 'E u ro p é e n s e sti-
m é p ^ Ç e f Anglais d e Calcuttaple #n om m en t seerjish P o u r
le 'm a n g e r b o n , il flatil le pren d ra Io ^n g ,d e deux pieds environ.
X u rd e ^ b u s ,de q u aÇ q r^è^pop^syl est plus .sec q u e
n o s p lus mauvais maquereaux# .passé trois pieds,, il d é lie n t
(ÿ lsf 'au ssflë w a n t-sa ra n de T ran q u eb a r,. n om mé pa r
Blo cfe^çom^ 'er g ü f ta tu s 1. A la v e n té , la figure n a q u e
des!'taches disposées' p e u rég u lièrem en t, e t la in âchoire
éiirfe&iiure ay|»cj|Lun p e u trop. Mais ces différences so n t
VouTfagé, d û peintre.' Lxàiginal que n ous avons sous les
yeux a d es:ts é b fs .tellement effacées, q u ’o n a été obligé de
les- ré ià b lir d ’imagination.
Bloch lu i d o n n e p o u r nom b res :
B. -IftW. 1©— 19 —Vffl; A. 20 —TU; G. 22; «P. IS; V. !£.
‘GëypT^s5n77&elon J o h n , co rre sp o n d an t d e B lo c h , së
tiç n t à T ran q u e b a r dans, les rochers sous-inarins, e t ne se
1. Bloch, Sysiema, édit, de Schn. , p. 23/p lv S i