L a Liciie éperot.
(Lichia cdlçâKj, nob. ; Scomder calcar, Bl.1)
Bloch a fait connaître'une liche des côtes d’Afrique,
à laquelle if n attribue
, que .trois» épineVhbfesV'tuais toutes l'es trois assezniartes. Son corps
.est plus court, à proportion, que daqs^çs précédentes, la hauteur
n’étant .dans sa longueur qu^an peu ,j$u|î de ti?ois. fois. Le dessin lui
dqnne une ligne latérale parallèle a-u <fes, 'et U. n’est dit
autre chose’ sùr'la ses tégumens, S W i ’est qu’elle est
æLepidolfcj ce qui ‘n’est probablement pas’ exact aia lettre.
*!’ Sa 'côtiléur est ^argentée et*céikte s u t de’violâtre bu de
plohfB'é.' 'SesuagèeJifrel'paraissent d’un gris jaunâtre.
r(B!? ? '13? P. 14; Y. ï/®:’ •*
-On ne lui ma'ÿqug.p.oi.nt dq^ajMs libres en arrière.
1 a ^ A c â r â - ç d t e de Guinée^ par
le -'dWteur fs tut-, &a taille «'gale oellfPçLii ^maquereau, et
f^ ^ è 'l^w t a^lM^^iAMupes^ Sa chair ;iî’est pas. mauvaise,
Ç*tVst l a ^ S f liçhe^ran'gë^la^MMiterrahéé ^ônt il soit
qüe'stibn dans les autert&s^èt peu^mre^n est-cè meme qu’un
cKoTOufmh? ^
1; ÏScombc'r calcar, Bloch, pK f ig ^ g "Cenlronotï éperon, Lacépède, t. IV,
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