L’épaule n’a rien dé
dessous du milieu;»SaSfêwme est ovale.etsa lQng^S-eS'^teptffois.
et demie dans la longtseur,totale. On y compte dix-huit rayons, i§on
* aisselle ést très-creuse fj e tn la face interne de s^o base se f e h u p
bïipét^ïtobe charnu, qui-rentre dank le creux.de l’aisselle. Le^vifen-
tràles naissent très^près l^ne» de. l’autre soi» le dfersfetérieur d®
■ pectorales, etétantàpeù près-de même longueur^ elfe le^dépSSsent'
un peu d é 'few ptûntélSiltté ©cÂtinùation de' leui^hnembraney du
tiers de leur longueur, lesattaehe à l’abdomen.. Leur formèrent
pointue ; leur substaïfce rflus épâisse qu’aux pectorales ; leüT^épne
égalé; les deux «ers d é leur premier rayon-méli. hré‘*épMtés qui
éemplacenfela* première dorsale ne Gpmmeheent presque quep^is-à-
vis la pointé des pediôraâèiSj elles sont si petites que, pour peu
qU^lfe soient coiioltéesf dans leur sillon, il faut les'cherther et
les relever avec 1# pointé;du scalpel pour les bien von, e> qtdefl||i
ont dû éphmîper; à neaûéoup d’observateurs eédê iessÂteurs. sWans
* indirâdus!’'de là’ Médkprranée" j^*|i!-en trouve d’ordinaÉré ^û é
trois, ét'pus raremiÉt Quatre. La seconde dorsale commence sur
le miHeu dtfïébrps j elle a vingt^six ou vin^t-sept, efr-qu^iftSKfois
* viiftftiuit rayons mo u sd o n t les antémués , quisont lés*plmSltegs,
n’oùt qu’un peu plus du tiers de la hauteur du C04ps| ils diminuent
graduellement jusqu’au; onzièmeou doadème| et restent au tiers à
peu pris de îà hauteur dtes premiers jusqu’aux t^ux ou woès?f ër-
mërsy qui s-alo^gent un peu en pointe.' Dans le bôïd antérieur èêt
cachée une épine, ou tiers de la longueur Bu premier raÿoûïÂtoü,
L'aûalé'nê commence guère qufe sbûS lé miheu do cetm dorsale,
a à peu près la même forme En avant de-Sa base sont det& jietite
épines libres, dont l’antérieure 'est* souvenrpresque imperceptible.
Uhe épitie plus longue esteachéef dâtissonbord antérieur, et elle
a seâze ou dix-sept rayons mous, dont l,e$ derniers finisseûf en
pointo, comme ceux de la dorsale ^ et vis4^vis le même pointiï’Ges
* d e u x nageoirês sont épaisses, et leur membrane a des strieS (Ju’on
pourrait aisément prendre pour des écailles. La portion de queue
pntré elles et la' caudale est du onzièjne de toute la longueur.. La
caudale en fait le cinquième ; elle est fourchue jusqu’au milieu. Ses
lobes sont assez larges et médiocrement pointus : elle a; dix-sept
rayons.; entiers et huit petits. On doit donc exprimer- les rayons
^« Iw éd l suit :Mb mrMK ' > ■'
B. 1 ; D. $ o p 4 ^ t j î i ^ T o u b ; Ÿ . ^ t * o u l ’fffc . n et Bvï>?ïb; V. l % *
* Il r^y ^ pnint d’écatUes au front jfa& museau,, aux mâchoires, au
limbe du pi^opercufe, ni sur la plus grande partie des.pièces oper-
culairés ; maïs on m soit.smr la la tempe et: sur le hjaut
iîde,: l’opercule ,l&nsi que sur t ^ 5l» un triapgle excep té,'gpdessus
de la base .de la pectorale ; toutes petites, ovales, entières, àu
I bord ivisible., ée^ançrées une ou dedçfois ,à % racin^.Lnê forte
£lonpei|$,4 éfUUSW^@S93es stries,càBceiMtoq^8>,Leur^v eûtaUva ejna
Qu six rayQns^Ij^ ligne latérale est uae série étrpite de très-petites
élevures., Au-dessus de la pectoyal^elle devient un aee légèrement
convexe yers leihaut jfpuis elle se.reeburbe lentement en sens contraire,
effet compter du tiers’ amérigur^de ladorsale, elle suit-en
droite ligne le milieu dfefe hauteur.^ous les dernie^fàyons Com-
mence une carène membraneuse, ou carjSlagineuseWhqrièontile t
-tranchante,, qui saille davantage».da§py«ï et
règne jusqûes entre les rayons, mitoyens de la .caudale • mais on ije
.^o it^ s^ e si deuçx,petites »üÇrèî^ qui l ’accompagnent dans les thons
et qui sont seules dans des maquereaux, ,
Tputice pêfeson est d’un gris-bleuâtre argenté?1 plus fpjacé vers
le dos ^plus pâle v®^.le ventre. De larges bandes verttcaies| a’un
bien o^ d’uri .^ifvlët. pins m moins foncé , eiîtonrent son dos etjses
flancs. Leur^nouibrë .ordinaire est de cinq sur le corps, et de sept
en comptant celle de la tête et celle de la caudale. La première du
corps est au défaut de 1’oper.cule; la seconde, en avant de la dorsale.
• T,«« .t-mis ^utres répondent aux divers points de sa longueur, et
. s’étendent, même. sur elle Lfes deux, dernières descendent aussi sur
l’anale. La caudale est m grande partie.de ce.Ateu^ffleé; i5ais|les
.■ppiètps de ses lobes sont blanches. Dans les jeunes individus, bien
.frais de couleur, elle a une bande violette sw^sa base et une ajitre
plus noire sur sqn milieut,. s^>arées par une bande grise. Les pectorales
sont nuancées de blanc et de violâtre. Les ventrales sont presque