apparentes. Ses dents sont en velours, et peu sensibles# Son oeil est
un peu plus grand*'à pHj^ortion que' dans la plupart
ses écailles plus ’•pçonoricëesj Lès pointes dé -sa db.rsâl%,e£ de son
analfe^atteindraiwit à*moîlié ‘déifies qwgeeûres.. lies, lobes de sk ’cau-
dale font le quart de sa longueur.-
* 0 . è {— 1/21 y fo f ê : I l et 8; TP. lTf T.^/5? 1
Ge "poisson est teint <!e brun vers le dos. Toutes ses nageoires
: sont d’un brun fpncé j mais la partie ïSptémeurf ideTan'Eie a un éclat
n^étaJlique brillant, glfice d ’argent dans quelques individus, e|£piprne
doté .dans d’autres j différence qui peut tenir à 1 état de eonservalïon.
Nos individus sont longs de six à sept pouces,
I l nous en a été envoyé pa r les deux go u v e rn eu rs,
MM- Roger e t Ju b e lin . Ge d e rn ie r nous a p p ren d que l’on
n om me ] M è t è r a i a -a Skmt-I.otris.'* 'v
U n in d iv id u , plus h a u t que les autres e t ou la h a u te u r
n e st gueye q u e d eux fois dans la lo n g u e u r '^ é s t tro u v é
n a v o ir q u e l) . 6— 1/49; A. 2^ 4/44. Mais.il esffe d ’ailleurs
te llem en t semblable au reste d ed ’iespèce, que,- loutesf-notab
le ! q u e s o ie n t dès différences, nous n’osons lien "séparer.
G est trè s-p ro b ab lem en t cette espèce q u e Ba rb o t donne
(pl. 2o) sous le n p in de lune du C a p -V e rt.
| | L e T rac h i^ ^ ^ -G rÇ f jÉ â s . j
" ( TraèMrio tu s g ô re én sd s^ nob. )
U n e espèce voisine d e ce te rd ia a é té envoyée- récem-
m e n t de G o ré c par-M. Rang,
Elle est tïn peu môiûs hàute. Sa hauteur est deux fois e t deux
tiers dans sa longueur. rSes dents en velours Sont plus marquées. Les
p pjnfps dé sa dèrSale et de son anale sont plus'aiguës ÉÉ| atteindraient
aux trois quarts d'e ces-nà'géoires;’'La ligne latérale est presque droiie.
Le limbe du préopercule est finement strié jc ’estàpeine si Ton peut
. dire une nageoire
i distincte. :
D. 6 — 2 1 9, .ou 0 9 ,etê,^
Dans leTraisI.teë poisson esÉargenté^et>a?les, pectorales et la pointe
dé'sa^ddBsÿé brunâtres; Lé reste .de^ette, nageoire est jaune pâle,
ainsi qUe-fanale 'etTés -^énfcFàles. La'-pointe de,l’anale estd’un orangé
Èf- ^ rcau4aïe-gj& .jg,up& jpnquüjWw
Des in iv ^ i s trfô^émËlâÉes*1 d’ailleurs* ont Sur la lignfelâtérale
cin^rac^^^oirâfrM,*^lds owfâôins;^marquées«Il y en a de cinq,
six et! sep pouces: '
L e ïèfck'lNOTE A maxillaire enflé.
fï^Trachiriotus mdscillbsus, ribb.)
Gorée: a offe&t^à M. R a n g .u n ^ q t r e espèce de trach i-
note', remarquable pa r f>a- grande.u^.e.t su rto u t pa r l a c p n -
formatim^d'ëQsqn-. maxillaire;, q u i est singulièrement épais
et;,ê0,hyexqjià;,sa-surface.
” ^Sa^hauteur, au, milieu, est deux fqis et deux ûersdans la longueur.
.Tout.e sa/,êteest singulièrementiis^. La. pourrie ^ s^pjjgfil forme
un quar,t d e ^ ^ ^ e ^et^^trgMMnt^en eÆ oUus. On ne lui sent
% i ç u ^ S t le s% n ts;S é c le p i g i l p n lÆ pdst^îiéut "de son
préopercule ^ p n p 3 )bîiquèment eïi arnète en dfescendânt. L’angle
en est arrondi , et le fonbé très-large ,-çnais \ peine 'distinct de la
io.ui.'Le maxillaire ësrdé^pwert'ffàns l^d èu a r fiers postérieurs,1 et
toute cette partie est é p a iss it a sa surface, bombée et très-lisse. La
Jigne latérale' est .dfoite; Les pointes de la dorsale et de l’anale ne
’ ' dépassent guère le' milieu dé ces deux, nkgeôi/es. La membrane de
"îi'ps-Tnagebires est striée en travers, ,mais on n’y voitpomt 'd’écailles.
„-..-«La longueur.^'des lobes de l^capdale Test>4(^e^trç^Sj|^is,et demie
■ dans la longueur totale. Les ventiales sont^f^t^ petites , a peine du
tiers des pectorales, qui.«“IJé^mêmes n’ont-pas le sixième de la lo n gueur
totale. Les épines dorsales sont fort courtes
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