et ellê-êst plus longue d’un ‘cinquième qu’elle n’est liante. Sa forme
est triangulaire ; elle peut se- cacher complètement rdans un. sillon
du dos; elle-a douze rayons xnédèoor^iaenÆ rol^istes, dont letfSëond
est le plus long. Le premier et le troisième bégaient presque*le der-'
nier, très-court, se montré à-peine k r s de son sillon, et il y a des
individus qui n’en ont que onze ou même que dix. La distance entre
la première et lar secondé dorsale est du sixième de t e longueur
totale. La seconde est moitié moins haute-que. k première, et sa
longueur,est double de sa hauteur-; elle à aussi douze rayons, dont
le premiér seul est épineux. Sa membrane est^paisse et garnie de
très-petites écailles. -L’esppee entre elle et la. -caudale -esuocçupé• par
cinq fausses nageoires, c’est-à-dire par cinq petits rayons rameux,
isolés, sans membrane intermédiaire générale, et dont le bord postérieur
s’alonge par nu angle aigu. La dernière detcês fâüsses^na-
geoires est fourchue et semble en-présenter deux, ùniés par une
pente -membrane'particulière. L’anale peu près -k-même forme
et la même étendue que la- seconde dorsale ; elle a de mèmè, douze
çr^ans; elle-commence et finit vis-à-visTes mêmes points et est*sui-
vie de -cinq fausses nageoires ^sentb.kbles-à.celles que nous avbns
décrites le dos ; mais elle est précédée immédiatement derrière
l’anus d’une petite épine librjb fl
L’anus s’ouvre aux deux tiers,-postérieurs de, la longueur totale.
La queue pénètre en pointe entreles-liases des rayons de la caudale,
et y est relevée dfe' chaJqiiè éôtê par deux petites: carène#“Cutanéê»
longitudinales, placées l’une Æu-dessus de l’autre-et garnies de petites
écailles imbriquées. La caudale est- fourchue, presque •jusqu’à la
pointe de la queue, à laquelle elle adhère. Ses jstyohs entiers sont
au nouibre de dix-sept, dont les deux extrêmes à; chaque lobé sont
articulés, mais non branchus.. Les rayons qui vont en diminuant à
l’une et à l’autre base, sont également simples et articulés. II.y en a
huit ou neuf en haut et autant en bas. Les pectorales [son|/ petites.
Leur longueur riest pas tout.-à - fait du neuvième de la longueur
iotale. On y compte dix-meuf rayons* dont les deux premiers sont
simples. Leur aisselle est çoneave .e* .bordée supérieurement d’un
léger repli de- la peau, qui n’a.que le tiefs de la longueur de la
togohire;.Lfé centrales nai$sént.un peu plus en arrière que les pec-
toraies; elles sont un.peu plus courtes, très-rapprochées, triangu-
Jairesyàiâx: rayénSi dont#^ prêpàér ést .épineux,Tjeur base adhère
au jventÈe5 paiïïune petite:membrane; au-dessus de chacune d’elles
da ^a®iN®ite'«replirl®w^>®0mm©sla;nage©tre|i êt entre ellesi est une
•petite-écaille triangulaire. Ainsi- on doit-exprimer les nombres des
yâyànsv'comiuej. il i suit | : te
B. T; I). i ï—1/A'l, ét’V fausses f'ÏT’î'-i-ïyi’l, et T fausses; C. 17; P. 19; V. 1/6.
* jfa içmg^çst garnie singuhèj-es , longues et pointues,
dirigées, en arrière, et qui ^semblent formerdes rides plutôt qu’elles
njont l’air d’écailles. Ver.s le haut de l’opercule, la tempe et le der-
.ripye du crâoçven sont quelques antres, petites comme,celles du
.corps; mais le front,-le museau, les pièces operculaires;, n’en ont
aucunes ; c»el%s du eqr.ps .sont très-petites, comme.noyées dans la
peau, enfant plutôt Je fe t de petites, stéjgs dessinées en quinconce,
.Que ,de véritables ; gcadles mjbji,quçest Qn ne peut guère les compter,
[La jignç latérale, ]daoe||,ap.Ùera supérieur vde la. hauteur, va droit
de la t.ête(,à la -augue, pamllèlement au. dos, et a quelquefois de
légères .ondulations,, jpais sans çqgÿilarité 5 f elle est un peu^relefée
sur., la ,peaq. Jjes écailles qui 'la composent ne. sont pas beaucoup
plus grandes Jeur forme e$t ronde et leur milieu
. 1 une élevure longitudinale, » ; 1
Les couleurs du maquereau sont^comme on sait, tr;ès-bnllantes,
Sç»n dos.est d’ün beaq bleu dkeier ^qhangeabt i£$ vert irisé et glacé
^dj^&tde pourpre, relevé,par des j-ivul.es 09. lignes ondulées poijes,
nuiid^scendent ^ n ^ et j^se,portant obliquement en avant,
jus qu’un peu aufjdfs^^ydj l a , l a t é r a l e ; Leur nombre est de
trente, environ. Sur le^eyanjt dp dos et eiitre les deux dorsales elles
s’unissent, m-éguhèrem.ent en anneaux pu autrement. Le long du
flan,c.; parallèlement à la, sontune ou quelquefois
deux lignes longitudipales noirâtres , diversement interrompues et
prpsquj^fiffjâqées vers la queue^Lje dessus, de la tête est bleu comme
•le dos et-.rjyulé, de noir. Tout le .reste du poisson est d’un beau
blanc nacré et argenté, irisé de pourpre et d’or. L’anale et souvent