tissu cellulaire défis©, avec’cès corps d’une agmrence tout-à-fait
glanduleuse. On n!aperçoit rien autre chose à lp^terturéfîdieil^b-
domen,.
Le duodénum remonte d’ahQt'Éî^rsJe diaphragme WrJreHhbè
droit du foie,\ Cet intestin est gros et plisse longitudinalement ; il
ressemble assez à l’oesophage par là^grosseu^ïda lo n ^ eu r et ja côù-
leur des parôfe. Lwtestij^se rétrécit ensuite bëauc©%5f;âpi'ès ;8@fiè.
replié, et va directemen^if rendre aTanui*
Il n’y g. pas de vessie natatoire: --
Lfe péritoin^est argent^,-et tout le long dé L’èpime il est beaucoup
épais, beaucoup plu&'fforeü^jsaqj éclat est plus vif : il'faut y
faire attrâàtionj cér o® prendrait facilement cetté raie airgentée pour
une ygssiÉI aérienne ’àélliisséfe. ...
Le squelette de ce bonitou adèicrâne plus
^ te iÿ ; les crêtes moins saillantes et" moins portées en avant. *5l n’y a
point 4g trous entre le frontal et le pariétal. L’épine se compoSmde
trerlteméuf vertèbres, quia*gompter de la huitième,ont'des.apophyses
descendantes simples ou seulement percées à leur bàsë'd’ûn
petit trou. Les côtes des sept paires antérieures,-attacih‘ées.à deStajîm
payées transvases, sont aplaties en forme de'fers: de faux j les -suivantes,
attachées aux extréïnités de ces apophyses- descendant!^,
sont de plus en plus gr^fes-L’aifiè s’attaehesOas 1$ vingt et unième
vertèbre. Â. compter de la trente et unième, il y^dés crêtés latérales.
La première dorsale s’étend de la sixième à la onzième; la deuxième
commence sur la vingtièrrie.
Nous avoÈs des individus de quinze pouces, apportés de
Sicile pa$M. Biberon,; de Nice par M. Laurillardr et de
Moree par M'. BorySainP^incent. Il y eil a de jeunes*,doûgs
de huit pouces., venus de Jÿicfi
Le poids de l’espèce ne passe pas six livrés,.selon M. Risso.
La chaih,de^|e?poisson, dit-cet observateur, est dun rouge
foncé, d’un goût aigre, très^ndig^te ; elle noircit à l’air.
Onde prend difhs les madragues à thon, depuis le mois de