en a fait un genre à part sous le* nom. dlistiophore Éjj qu’il
-aurait dû orthographier histiophore- (porte;-voile-j-tdiigitswf,
voile d e.;v navire g - temp^ av aait i lu i, IJermannî Jasait
aussi séparé^et Pavait appelénvtistium ou voile sur Je dosj
mais .son travail L ee sujet %â paru que dans ses^oh?#^ÿa_
tiqns posthumes 1 en. i8«o4s- Bl.och, 4^n^,s§n ^ystèmmpos-
thumÇj a $té plus hardi encqreÿ^t lu iùtrb4üh dans le gjspre
des xiphia%3. Sbaw en ayaitifait aut8nt dp$ oniCfàtéIg ?sans
connaître enc^ce le. deinjer iOuVrage de
. Ge^t en effet 4 ef xiglûa§. q u ille , rapproche le plus,
quoi quen.ait dit Bro,us$£mn,et, ttropféP^¥dç3péM-at^^hé
au?, méthodes artificielle^ en.-vpgne-jdjp^son temp&y f^Jârsr
qu’il.ajonte quç le^vqiUer,^ rapproche davantagedelà
famille dess thpps, il ne. Jfa.it qup .confirmer ,l!afl|p|té qu’il
veut combattra car^e’Qlt anssi d.eda lamifié degijthpiê que
l’espadon se rapproche' par les&®apparts naturels.
lue VoiLLÈR DES I'NDES.mif
( Histiçpkorüs' fn0eus‘pnp]xQi '
L’individu d-éçrit par +Brousspnnet,P,et qui psbçansepvé
au Muséum britannique,-.avahété rapporté.de la mer des
Indes par M* Baqh&: il n’a p ^ é t4 eomparé a^eG^assez- de
soin a^çejix d’Anierique, pour que I’oSl.puisse pvoin une
idée positive de l’identité de -l'espèce- dans-les deux oe^ûis -;
mais il faut convenir qu’à en juger d’aprestées figures de
Margrave5 et d u prince Maurice -6, d’une part ,..et_ celles de
1 . Lacépède, t. III, p. 374 et 375. — 2 . HwrmëHb Obser. zool. posih.,
S. Xiphias velifer, Bloch., Syft. posth., p. 93. •— 4. Xiphias platvpterus,Shatyc,
Gén-zool. ,'t, IV, part. 1, p. l'Oi. — 5. Brasil., p£ 17T!*-— 6. Liber principis, 1 .1,
p, 4j>3.- '
MeùhofH de Renard^de Rfôüssëhndt3 èt de ShaW4, de
l’autrèl,'' et en' tenant fïêii dë '^èM des âttêiëns
deèèin'aietir^y la ressemblance de ©èàpoiasdns doit être
extrêhi'Ap
La description que npqs, allons donner de ce’ voilier
des Indes £est-prise en partie die celle de BfoussOnnet^et
en partie des obsei^ations q u ë .^ avoms faites à Londres
individu : nous la &$mplétons au -moyen de celle
que M- V a l è i f d ^ n e s ' F e r l i n sut ttü Mdifidh fip*
p'ortë dé jffijRÉpÈi Rou^e par M. Ehrenberg,' et reptëâènté
par 8 m? '
La forme- dtt^Mcùs duvouier est à peu près celle du opinas,
mais sfe musfeâu est moiiis alongé, et'aù lieu d’êtrë aplati,fil est
14 $ 4£eü“prèS arrondi ,a '^'semblable à üné brdêhë plus qu’a ürièrépée.
Sa hîgëoire dorâêdë'èst aussi beaucoup pMs élëVéev 'dt'fc’ëst elle qui
lui à valu M ® M B ' * d ? e p â r e ë qtt’ëlle parait, en-eflfèt™lui sëTVir
t! à ptendrédë. Vent Îorsqn’d-Mge1 à la Surfâce de ïëaüi. • *
La haUtgur* de son G O fp s aux pectorales est de sept à huât fbis
dans sa longueur totale. La longuèuir de sa tête entière, le museau
•compris, y est quatre fois5."Sa mâéhoire'inférieure est pointue,-et
de plus de rUôiûé nïèihs longue quë 1a supériétïrë. est un
peu aplatie Èrsà base et preâqùe ë’y'lindriqüè dans lë reste de sa ïon-
guetîf Elle se termine en pointe aigtïè.'Sà longueur de'là pdintë
W fisÉHN&t :ëffi^:,;f ^ îët-!d6&ë'-d,àhs%ëlleiddf%3i^;'1 *
r ? Bfôuàsbftô’ët' dit : Ki:Qere l’intérieur1 du palais est 'l-eèôiivért de
« dents pètites, - Inégalés, un’peù pointues ét t-f ès-râpproebées, qui
« s’étendent |jusqu’à la partie supérieure dé la mâchoire- la plus
« longue, oiâ elles deviennent obtuSes-, cè qui rend cette partie
. 1. Willughby, appendide^pl. 5 ,-fig. 9. Bénard, part. 1, fol. 34? B g-182;.
et beaucoup plusrpal, part. 25 pl. 54, Bg. 233. S. Mémoires_de l’Academie des
sciences p o ^ • ■IjrioO'> — 4 .’ Geriër. zoàT.^ IV^ part. i y p- io i .?
5, La figure de Broussonnet parai t trop ép a isse s surtoüMrop renflée dé la mrqtia.