I » Qe qui* bous dispose ie plus à d©üteb.d@S>gr€nds-VQÿRgoé
qu’Aüderson fait -faite au maquereau, ;e est. queda-pêche
defde poiâsôïi COmmeném dàbs la iMéditertanéeg tm même
temps que dans la et dans.da jîanc&o,'* 1®^
même plusAÔff«
I On-gn pre.ndtàiAiguemoBtes $ depuis le mois, Æ Avril jusqu’au
mois-d’Août ^T o u t le long-deda cètë dudiamguédop
la p ê c h ^ e n fait ^eu.-Juiuj; î-uillet et Ae^rt,!5Al^aiut7^^pî^®
et à Fréjus- eu Proveqpe, ; il y en a ' et
quelquefois fusqu’eq Óctoprelf M; Risso.-assure,: quomen
fait au printemps des pêches abondantes dans les environs
de MçeMDans la mer-Bfoirè
la Tauride, il sien mpntie au printemps g|f / pendant « |
d e . grandes troupes | doint .^ous;iles indiyidn^i inéine les
petits, sqat pleins dijceufs-ou.de Jaitancès^lls viennent de
l’ouest, et les oiseaux de mer* attirés par Téela* idediôur
couleur, lès, suivent et: enfontleuEproië.- Il n’en pénètre
point -dans la mer idlAzofhî. Au. Restç ; le maquereau-
porto plus “Pu sud que le détroit.-de OibraltandLeAluséum
on possède qu’Adanson a rapportés des Çanaries.^ous n’en
avons pâsîvu delplus méridionaux.
11 paraît que le ma que reiau1 * diffère, pour la grandeur et
pour-le goût, nomseulement^sélon les saisons, mais, aussi
selon les lieux où., on le: prend. Dans la tpaldçpie, $ nè
tm f ’ :.1 iKre derriète^l’arms.. ce /qfli .coiMtndtaifc bien au B&tfe ; : hiais-jl ..ajptttg
que, c’est J e pelqmis tyçdajle Rondelet, et quele, cqw\la}s qtii Pft^e jcoméff de R on,
delet^en d iiH irp a r'l’absencé le ceW éjtae. Il faut supputer que ce cavalla de
Gornïâe, Vjïïi,; d i t # / « M ëÉfalrpftfe ^ J
auraït-,u$e #p»« j^#<ny ï j B j f t v *:
1. Duhamel, Pèches, part. 2, s eA ^ p - >8;*, p-, 2.t t i . , l p. 186. — «3. RÎ9sq^
Ichtyologie 46 ÿice, . — 4. PaMas', Zopglftp.hle nisst)râiialiiqw> V U I? P-®»5
et 2*6. m
passe pas un piM^lot on n’en pêche pas beaucoup. ; on y
en fait peu dflfèas*: Allamand : et Lëfranc de Berkhey,
^Iték par-©tthàmél, -assurent qu’on Alestime, fort peu a
Am^erdanii?. Pennant dit qu’il elt peu utile, parce quon
ne peut le transporter,- et même qu’on ne-le sale guère
que d ans le pays de Odrnouâilles ,o u il fournit dans cet
état-un aliment aux pauvres. Selon Anderson, les Islandais
le méprisent etme se donnent pas la peine de-le pêcher.
Ge^ assertions doivent sembler .bien, étranges aux habi-
tans de Paris1, auxquels ce poisson fournit pendant l’été une
nourriture si abondante et si agréable. Il paraît en résulter
que -ë^st le long de nos cotés de la Manche que, par des
cia us e s peu connues, H. arrive à sa perfection.
• * C'est à l’entrée de ïa Manche, entre les;,Sorlingues et l’île
de -Bas ,• que se prennent lés plus gros maquereaux. Il y en
deux; pieds de longueur H mais on Ips estime
moins quelles autres pour être mangés frais, et o k n e n
prend que pour les,saler.4
En général, dans la Méditerranée le maquereau est petit
et set, et passe pour inférieur âJ celui de l’Océan; mais je
séup^ohné'què cètte~màuvaise réputation lui vient en
partie de -ée qu’on a pris pour lui les deux espèces a vessie
natatoiïUpddût: UOüS parlérons bientôt.
M.‘Risse; qui‘"disttfigue" lès*deux**espèces, dit que le
maquereau 'a la chair a^Èe'è: agréable; mais qu’il n’arrive
jamais t peiser quatre livres.
Cetti’assure qu’en Sardaignepôù on le nomme pisaro,
Bien que l’on n ’en Fasse'p o in t‘de grandes pêches, on le
1:-'Geofgii*,^Description de.la Russie,,C III, c. J , p. 1927. — .2. Fischer, His-
Livoni®, ÿ .:k |8* 3.' b tih am ô ; Pêches , sect. j , p[. 1 7 1 , 18 6