Z/’Ë laca^p ^ O r ix v
*{El‘amte tfbotta, nob.) *
Russel marque à son pedçUi-mottaVi *
- une tache-blanchâtre Achaque anglepâe la caudale, dont nous ne
.trdhvons point de tfaoe dans "no#e rndividiâ. Il lui donne pour
: *nombres :
B' 1 / quelquefois 9 P- 18 • !
,Le reste^de fl s # dé£C^ption,, m^n e p qpr les ,
eorrespondsà, celle que u*©us..vep'unsviô^iiÉef
- *Un examen, comparatif plus. déMillé-p^rra seul noirs
apprendre s’il y a quelque e'hosé dé côhsïlmt Mfns^çes
différences.
’ L ’JËlAjEATE DEnMal^ àR... -
f ÇElacate malabctrica, nob.-)'
Il faudra aussi faire entrer dans cette jê©mparafsQn,irne
ëlacate défia côte de Malabar, qui n'Oiiisi>a‘ éfcë^m^ifeée* die
Mahé par M. B é le i^ ^ e t- qui a pour nombres^-.-
D. 8
k£ez mal conservée ^eomine, nous bavops-rqçue; ehe paraît toute
entière d’up gris brun ; du reste, sa ressemblance est des pjhnsqgfandçs
Avec la précMsafér
L’indb'ra.u. est long dé près d’un pied.
On nommjé cette èspècefà MaHé mosoùmin^iÉàe ‘ s’y
mange-
JM DiSssumier vient de nous rapporter un ià d iv id u ^ ^ i
long de quatre pied» trqispouces, qui semblejivpir la;fëte
un peu plus courte à proportion. Les stries antérieures du
crâne y sont effacees,
•Gommierson*a$dans aune manuscrite de Madagascar,
l a f e i a p t io n d’un* poisson quil nomme spinax | et qui
^M ^ ^ eÀ m e n t uné^ élaeatë semblable d§ tout , point à
celle du Malabar, M Tondue .de deux^pîedsshuit pouces-. Il
ma'rque;ses ndtnbrê|: B. D'^9 —J55;.A.*2 9 ; ce qui répond
encol||ps$e® bien giceu^jque vj^ot^^yons observes.^,
. %vktjét^pras a la,fin de Novembre'17^70
a u -Fort-Dauphin. Il avétit dé#)ré $e petits poissons et des
'crafeês^ que'Gommh?si©h^etfouva^i^sqne q^tiersJdans #on
eàtômaGeJ^jy f?ouva Hfussi umt’ænia Iori|' d’un pied.
M. de Ladépède n’à pas^'eu’eônnaissance-de cet article
deGommerson, qui n e tait -accompagné d’aixcune figqre.
ZÎ’ÉlAcâte d’Aivi&riq.ue.
( Elacate atlcintica, noh.^Scornhën-hig&p, Bl. )
TÜL Pelalande d enviïye du Brésil un poisson.tellement
semblable au LIÆt®çpâ de PondiJ^é^^, que çe it a peine
si noôs osons loffrir Jporpme uneN e^fèBe^distincte.
Cependant le. nombre denses rayons n’est pâs.tout^-fait conforme
H M M H 8 — 3 / 3,2) A, 2/24; P. 20 ; Y. l/5® e t les ar&es de son
crâne sont^moins" mai^uéel', surtoüt en avant.
Ses couleurs paraissent .gëüéràleçaent b r u n e s ^ n'oirâtres; mais
^ une batide d’un brun plus' fâle'semblé suivre le^ô|e du tTor^s au-
dessus de la ligne latérale ,.et le lourde cette lignÿffl y en a unf d’un
brun ou'd’umnpir plus fonce. On ne. voit point de fâches a sa queue.
Nôtre'"individu est long de -quatorze polices;miais il est
* probable que l’espèce devient aussi glande que -pelle des
;lï % n e comparaison #èi|nëe que nôus avons faite de ce
1, Spinax edax, vorax, bivorax, aculeis m dorso noyem dUtinctus.