sur le dos. Les nageoires sont transparentes. Sur les deux dorsales
et sur la caudale on voit deux 011 ^foîs rangées de» petits points
rouges.^
L’estomac est un assez grand sac,»dont la branche montànte*est
séparée a | l’eftomac par un étranglement bk» marqué* Il n’f a,*
comme dans les jpèrcis, que quatre app^diisfis^oe^ales et pas de
vessie aérienne.
Nous n avons trouvé aucun autçe renseignement dans les
manuscrits des compagnons de M. d’Urville, sï ce n’est què
Çe »êissfro vit dans l’eau: douces
Page 211, après l’erticl^ei-^ssiis, ajoutez :
Autre nouveau genre dePerogiides à ventrales jugulaires.
LE B0V IÇH TE ,(BoriCHTvst ntjb.).
Nous eherçhiSps depuis long-tempsv quel pouvait êtçe
un poisson jugulaire^figur^gns le douzième Volifme^es
Transactions liuhéenues,, p a rle capitaine Çarmichaif, s®iis
le nqm de callmnjmus diacanthus, çaç ü el|tit raci||j, dh
reconnaître que ce n’était pas un c^ lionyme^ous venons
d’être as§gx heureux pour le rétrouvey parmfcres esn | | es
recneiUieg à Valparaisp du Chili par M. d’jQrhjgûy. Ç^^t -un
•genrç. particulier, voisin des vivesf ayam oommereli.es des.4
dents enjiaelOurs aux mâchoires^^aux malatinl ÿfëivÿSmm
devant du yomer, mais qui se distingue non^eulemèut; aêan
vives, mais encore de tôus les attitrés percoidtes
les pereophis e&cej||tés, p # l l s sept rayoüs dç s<| memhiyihe
branèhiostège. l^têté5’d’ailleuES,plus plus.cqurtq.,
sa première dorsale composée (Sera^ns plus grélès^i plus
loçgs , luiMonnent uu air tout différent des viges ;’il ressemble'
davantage aux cottes, fi
: ••Noos;ü e connaissons ën co r e qu’u ne seu le e spè ce d e ce
n<ÿltts’'':t r em v ^ s u n e figure exacte dans le M é-
du capitaihfe CarmicWliel sur %s à
Tristan da ,^ ù h h â ? ^ m d'Mdu q u i moujf'a éfeè en v o y é par
M"dOrbign§[, *st"àrriveen m p u ^ ls e t |t ; t o a i s titms avons
p u néaiMnoiûs »constater parfaitement spn id e n d t^ a v e c
c e lu i d u navigateur anglals^Ainsi l’espè ce est u n e d e celles
q u i q o u b lën t Ifeieap Hptffr Ou qui traversent le d é tiifit de
Magellan.
^Ces poissôiis p o rten t à'Vâîparaiso le nom d e to r r i to
(p e tit taurêalx)5 NoÜS notfè SôrürrÈèt ,s^ryiSfld e cette d én o *
im na tiom pôu r cômposer^à n o tr é^ en r e le f fpm d e bo^udfte
'( p oisson .boe u f). ,
, L e Bovichte diaganthè.
H ( ÉùpM itits â ia çu n th fà :;%>k. ; ÇM yonirnm
Carinich. ).
s; ; -Cé torritàdfa fe Jbrme d’un cott^. |a tiife est jr& se
et%e»Sée, lj^èrtment bgmfeêe sur Éoeeiput et plane en diptaus.
» »La plus grande, épaisseu^f mesurée d’un, opercule Vautré , eèt vupé-
ri^re d’un tie#|ràla hanMr. Sa»longueur-égale, à très-peu defcfiose
près, le tî fecsrAji-cell&rdu corps, mesurée depuis le boutîdu dratna
jusqu’à la,;na^&nc^ue k Caudale. Le cOrps m comprime t-ntesure^
que4l®n aÿprowé ded%qneue;, dont l’épaisseur n’es| phis qué la
Âcwi^Àë'K'hMnteiâl e» æNlkædea.dpisiales,-..
Le npseaj^est obtus et de^foriûe paraboMqua iMpace entre le
mi&eaa et JÎe devant de l’orBite es|-Jurement ctoëave. L’intervalle
wjukséparë Tes'yemx est plus céeu^ 'p<® ^ei® harènes c r is e s ,
*. " Isèssenpes, quiirvobt depuis ’f e ;08;du n|z se perdre sur le frwkt âu-
dèk deTorMte. Il n?y allicunf épine sur le dessus de 1| têplffi» j ia x
■sont -gT»aTÿl£j alfetridisjjéloiighés dte bdi®! du n^wseau'd’unq,^distance
. leiSr d k n ^ e -^ ^ à itH e gHWffde k loffiguètïNeia tête jils