4 9 8 L IVR E IX. SCGMBÉROÏDES.
Holstein. Schonevelde1 dit qu’on en prend quelquefois
de petits dans le golfè d ’Ékeford, sur la côte orientale de
ce pays. ,
gros, qui échoua en 1682 à -lile de Linde^est décrit
par G. Hannæus, dan$?les Ëphémérides desi- curieux de la
nature (décad. II, ann.^,,.. obs. . io ^ ) ;(*en sorte qu on est
étonné de ne ipast,»éir figurer;jptte espèce Mans le Catalogue
deg animaux du Baneniarek, de Muller. ?
Elle entre même bien plus avant -t|a®siiâ, Baltique.
Walbaum en a décrit et disséqué deux auprès de Lubeçk.3
Schonevelde en avait vu un autre, jeté, par les flots sur-le
rivage du pays de Mecklenbourgy que deux chevaux eur
e n t de la peine, à tirer'à terre. jS'a longueur: était de. onze
pieds.3 i
Kcelpin, professeur; de Greifswalde., ;en ..Poméranie* en
décrit un dans les Mémoires de Stockholm. ( t. ^ X X Ï ,
i7 |0 , p.S)^ qui avait a é prfeià quatre milles de c e tti ville
en 1764, et parle de .trois autres de larnêmeieiterù
Les pécheurs de Prusse-, au rapport de.WuIfen4, en
prennent quelquefois dans la Baltique) de huit -pieds) ,de
longueur, et à leur grand dommage,.car leurs filets en sont
presque toujours déchirés. Klein, en effet, en décrit un des
environs de Dantzig Hartmann un autre|des- environs
de Pillau 6..'Bbck, dans son Histoire naturelle de Prusse, a
rassemblé des renseignemens sur beaucoup d’individus pris
à différentes époques le long des cotes de ce. royaume^;;
W m Ê Ê Ê Ê lM ei holst: , p|:Wk^m^tÉ.oïïemonrde Berlin, t, X, .pVj5Q.,rét dans
son Artedius renovatus, part. 2 ; jk ^ . _ 8. Stthonerelde,' loc. eh-. — i.-lch hjo l.
cumamphib. regn. B o r u s s .^ tà :— 5. Missl'pûc.'}t. IV, p. f 7 . — 6.' ÊphTm. naU
cUr\} déc..3 , ânn. 2. — ?. Bock, Hïstifitenatufelle économique de t a Prusse orient
tàle et occidentale, t. IY, p ; |3 t | à #
CH AP. V I I I . ESPADONS. 199
Georgii n’a donc pas hésité à le pfecér dans stm Histoire
naturelle dé Russie p / p a r t , t VH , p. i go&> Linnæus et
RetziuS l’ont également nommé dans celle de Suède1; mais
il n é f/è a t pas quéstion dans celle de Groenland, et en
gébÉldûl n’e&t pas certain qu’il^rave^efhcéan Atlantique.
Pènnàtot ne léqdaeë qu aYec doute dans le nord de
l’Amérique, e t é n Ile - nommant,
n^^êdCènèd^fler qüe dé reû€âA)U du eâchàl®* à haute
dorsale.9 . '
Efeétivement, M: Mitchill n’en -pàrle pdint parmi ses
pofësèrïs'de N'eVV~Y'ûrk. Je n’entrôuve non plus aucune
mentiorf dah# léS^ autëürS qui on t écrit surfes poissons^
des'pârages plus méridiohalx de l’Amérique, ni dans c e u tl
qui ont traité‘des poissons de la mer des Indes; mais comme
beaücôup d’atïtrds paissons de la Méditerranée, il paraît
suivre-la êôte'd’Afrique jusqu’au €ap. ;MM.jiQuoy et Gai-
mard en ont d’éàsiué^ün au Cabinet de la :ville du Cap, que
je né pourrais distingûér eu rien de ceux des mers dEurope.
h On cite parmi les habitudes de l espadon célle d aller
ordinairement par paires, un male et une femelle. Bloch
lVssUre IHpIS le chevalier Hamilton f é t ' cela s’accorde
avec^ce 'que M. Rafinésqué raconte d’une espèce voisine.
Pline- rapporté*; ‘s u r - le témoignage 'de Trfebius-Niger;
qué, près d’un lieu des côtés de Mauritanie, nommé Gotta,
non loin du fleété LixüS,’ il était arrive à dés navires d’être
peTcéf pat l^'b^c du xiphias, et deü etre coules bas.3
O n ‘a voulu^cohteStèr ce fait4, et dépendant Cornide en
cité expressément un fort semblable, d’une palandre espa-
| i';Faun. suec* 2.“ écfi't, p. 3o3 -t édit., de Retzms/p^Si&'l— 2 . Arlic. zooh,
t. I I , p. 364. — S. Pline, 1. X X X È , # » ^ - * . Bloch, part. 3 , p. 36. * :