épineuses SMp^eui?es. ^eoiMgter, delà
l’anneau d o n n e ;>de.(Sybase un petit ,çjppja^, (q ui s’u n j j ^ p ^ ^ t i t
c rochet du hnrd ..postérieur;g|e la v e r - p r é c é d e n t e j n i|is ^es
p a rtie l, "peu oonsid érables, n e côm p îiq u en t pas autant ,ce cahp, sub-
veitébral, qu’e l l^ e T o n t dÉ islé s tüonines.TIe's apophyses épineuse»
dM a ^ u è u e ^ ïa n t supérieures qu ’inférieures, -voritten. diminuant jti®*
q u ’àdà tre rit^ d ^ x îé ïïfë rôft-tèïiife. Lés’ frbîs-asùivantès n^ojîffli’*àW'ilîéü"'
d ’a p ôphyte ’s ^ ^ è ^ d ë s ^âMieS' plâtes ,» q u i se couchent d’une» vertébrésurl\
autréî®iëll®?telrelèventët-£s?aiguisentnêhBuip^9asqu’àr’lartreniehuitième,
pour scontribuer àMformeri’éventail veriiçal qui. pprte|l%.
caudale. La cç.ète .latérale^e la^quép^, est so^tçrqie p a ^ d ,^ tp |g ^
latérales.osseuses, qui tiennent de la trente-deupèiue.|efft^ r e jusqu’à
la trente^ixiêm'e'. 'Les^Mnte-septième et trente-huitième ont le corps
très-court. La trente-neuvième est celléquise* dilàte pour la caMaiej'
elle.a encwé â'è1 chaque"oete une petite apophysl^** ?
Il j Miteux b r d i ^ E ^ d t ^ 'Les' supérï^res , g r â # i%fidëî®ë#âht"
ho'rizontales^mais psê portant Obliquemënt exi âtrière dans ép aisseur
des'muscles, adhèrent au corps desvertebrës, .au-dessus d'ei
il s’en.-vok.'.au&;eôtés ide-jla^queue jus?
qüfiî% vifi^heuvièbië ou à la trentième:;vgytèbrvé;. Les inférieures?
tiennent à l’extrémité, deé apophyses transyerses, et; lorsque‘c p
apophyses forment un anneau-, ë fts ’•tiennent au bas de 1 apophyse^
épineuse :qm enWstTend1. Ces c'ôYes inférieures rie c^mmeneSnt qu’à
la troisième v ê r tè b r é ^ lt^ ^ ârfssi‘presque hôrizontâlèsfj'usqu’à la
ta n ^ l dé’sabre. 'édmpter de la neuvième, cel'l«^d^èhàqiie paire
s’àttachënt tout . près ïûneqde ra u tre # 't’extrémité|’ deîdrapO|<hÿse.
descendante, et même,, à compter de là treizième ,^les--se-collent
l’une à l’autre sur une partie .de- leur longueur ,^dve manière à faire
groûrè^qu’i'l ri’y.a^spus chaque vertèbre,; qu’une seule ctfte fourchue
en arrière.
Les*'os^jjp^raçoidiens sont la'rges êt forts. Le^teou du radial ésî
petiî, et ceTos' lui-mêmepeu étendu. L’éçhancrure du cubital ést-a-u
contraire alongée ^-p^iWtiféîiLès oë du bassin sont chacun fourchu
en afant , et ont W l f â l P l P î âpojÉiytetentredes ventrales; 1
Aristote54 prétend que la femelle du thon diffère* de son
mâte’!parune'ri^eoîre quelle'a^dê1plus#bus lètventre, et
qui efct riOiïidfe$b àphareus. Il est impossible d’eütendré ée
qu’il a voulu îHil^<Gètt| différence de sexe n’existe, cërtài-
nei-neuf point.. >?
Le Aristote
parle d’un^ijipKÊ indivcdu qui pesait quiri^e talens Qu douze
coiitdÉéi#ët une palme' d’une
pointe à l’aütf ê débite nâgeoire de la "queue-2; encore cette
mesuré^ê^èllè ühè^orreétion faite par Gaiza d'ans 'aèS premières
ë d itid ^ ; ë^id’apréâ Pliné3.' La plupart de^ imarius-
crils dv^-Ujistate.(Lisjepï c inq-^udém^et Hardouin, toujours
enclin aux parado^^ j. a cru que ,ç’é,tait Pline qu’il fallait
corriger. Cinq coudées pour i&ëtte,,partie^ quelque^valeur
qued,on'.aftribue à*Gette xn;esure, ?doiinerâient au poisson
une taille au, moins :de wingt» à wingt-deuxpieds#§M
■ ■ E n Sardaigne, quand iUpèsë moins dë-eent livres$Éîn%è
l^>pettfr:tftte* d u nointâ^îcanipirr^ô ^ ‘Êëriv^d^'scÿmberÿ
de ëeht à tf oïsfcents ïiv-ffeS y.jce hîjSjsL encore qu’un demïr
thon (mezzo-tofmo) : ceux de mille livres ne sont pas très-
rares. Cetti prétend qu’on en a-pris quelquefois .dei dix-huit
cents; livres, etfeil ajoute que les plusgrands sonâ toujours
des»in*â|(isqfèe qui , ;sel;®n sa propre remarque) serait contraire
à* ce que l’on- obseirve ' dans là plupart des autres
pp'isksshsï'4^'-"'
U ne paraît pas devenir’si grand sur ridtëFfcôtes. Duhamel
pâr§ë devithôns de' citeq pieds de louj|ueur qui ’puaient
1. liist. a/2.^1 , 1. VIII, c.
3. Pline, 1. IX, é. i5. Inoenimus talenta quindecim pependisse ejusdem ectudoe latitudinem
duo cubita et palmüin.
4. Gëtti-, Histoire natitrelfë de-Sardaigne, t. III,; "