I. MAQUEREAUX, 33
qtî® deuit B»^uergjiux * l’ordiàaire, qui s’y nomme aour-
neoitr&Mniiespèce,à vessie, quejddnfy,appelle apurneow-
bias.' fH
M. Riss.® ,nen reconnaît aussbquë deux, même dans sa
seconde!é(|ition, le maquereau ordinaire, auriou des Nir
caifcfsï.et un maquereau à &essiê nalatpire, leur cavaluca
ou cavaluoo. ;
Des Maquereaux étrangers.
™LeJPETiT -Ma q u e r e a u d e l’Atlantiq^ue.
, ^(Sgomber grecc, Mitchfî
Un maqUnream qui ressemble étonnamment au pneu-
inatophoretde Larocheya été décrit par M. Mitchill à.Wew-
Y o er grex; Nous arv O ns ^examiné
àveMe plusgrSÉid svdin, nombre d’individtfs envoyés de ce
pàÿs paÆL nos pneumatbpBmes
de la M ô d ite ^ a n ^ sans pouvoir y remarquer la
moindre diffèrerîbe*d'ans lesiforme^et le nombrëfdfes par-
tiesslj et-nous nous sbmme^assi^ll qu’il a aussi tme vessie
natatoire.-Il nous 'a sémble^ulement que les lignes foiicées
dû dos sont moW-t'égulièrês-, plus tortueuses et plus mê-
féês^lés^në^uüx autres ; mais‘Æé&’à peine si1 nous osjeriOns
faire d’une différedcèlégère un caractère spécifique, si
nous ne'ïe" tro^vibùs "‘confirmé par quelque^ différences
danÿl’anà’tbmie.- M. Mitchill décrit laf* teinte naturelle de
& poissoîu comme, d’*üiî^èfrt>gâl'e*âyteo des raies d’umyert
.» . 1. Mitchill ne lui donne que cinq rajons branchiaux, comme M. de Laroche à
:Son pneumalbphore, et tout aussi mal ^
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