D es Lich@s' '(fa ic h ia î jtô jo î)^ ..
Les lîches bat le corps obloftgy i comprimé, sans carène
latérale*-, 'saaisE crêtes ' saillantes aux côté# de la queue. Au
Héu dé première^nageoiresy elles oht,com'ttië ie s1centro-
ncff$s, des* ^ # é s ’qui peuvent s&^rfifotivoif ’isolémefit^. et
ne sont retenues chacune ^que par une petite* meîhbf^ne
particuiierp^ en avant 'de :1a. p r^ ^ è r.ç ,^ :^ plus7ou moins
cachée- sous la peau, $st une épine fixe y dirigée en. ayant,
qjdTappartient à*un ihtërépifieux. D’eux épines-Jifcres r sem-
fdâbfètfà cellês qui représentent la première dorsale \ sont
placéës derrière l ’anus, ét y forment une sorte*âé première
anale. L
La ^Méditerranée?nourrit' trois de^ ceâ”;pgtssbHs, que
Rondelet avait déjà parfaitement càractérisé^ou^le nom
générique de glaucus, mais dont l’histoire'et la synonymie
sbnt tellement embrouillées dans les modernes, qu’il nous
aurait été impossible d’y rien entendre, si nous ne^ftéus
étions procuré les trois ëlspèet® , et si nous ne les aVièns
Comparées entre elles et aven les figures de'Rondelet;
La plus grande, la plus facile $ distinguer par la fort-e
courbure en de- sa ligne latérale? est la deuxième-de
Rondelet* (p. aS f), celle qu’il d it’S’appeler Jiche en Provence
et pélamîde ou vadigo à Montpellier, Stella à Rome.
Salvien lVtrès-bien représentée (fol. 121),’sous les noms
dramia en latin, et de ïéccia èp. italien. Aldrovande en^a
une figure bien moins exacte (p. 3o3:) ; il la nomme glaucus,
-CIlAP. XL ï.ICfHT-'S. m
et en reconnaissant son Mentite avec le deuxième glaucus
dejRondelet, IL avoue vne connaître que cette espèce-là.
,Les d ^ à u W o n t la ligne latérale à peu près droite :
mais l’une des deux, qui est la première de Rondelet (p .â5 2),
selon lui, le-- derbio -de IVIontpellier, la hcJie et la ca—
brolle de Provence, la lechia des Romains , a des dents en
vèlours et une grosse* tache noire, à la dprsale et à l’anale ;
c’est elle que Rélm paraît avoir décrite (p.- î^S) sous le
nomijde lampuge des -Marseillais. %
- La troisième , -qui -esL'apssi. la troisième de Rondelet
(p.-3^S^ gt que cet auteur â seul décrite, mais sans lui
donoer’d e nom, aides dents coniques et pointues sur une
seule rangée.. * \ '
- .Ces désignations sont, comme l’on verra par la suite,
parfaitement-conformes a la nature.
. v^illihghby a le premier introduit le désordre’ dans une
histoire si? bifeii commenpée; Il n’a connu que deux espece^
. de liches. • /k n-c
La première, qu’il-décrit page-^96, $t quil croit la prem
i è r e Rondelet, n’esfr vraiment que la seconde, comme
on-peut s’en assurer .par la couleur gyise et’sans taohe noire
déda deuxièm-e^dOrsaJe. 11 lui^onne avec raison sept épines
à ]a‘preftière'd©rsâlepmafe\son éditeur Ray.les réduit mal
à- pr©p&& à- -ckiq.
La secondé (piagf) 5,Sur laquelle Willughby; est en doute
dé savoir è i% s t la première-Su la seconde de Rondelet ,
l^Gelleme«*L-pi'cmièr«,-d,apr.ès;k tache noirede la dorsale
et les quatîjC.im cinq taghes des flancs.; il en convient
même à la fin de sonyntide , et ne trouve de différence que
réktivemelit au nombre'des^oeéumS,
AprèK'feà deux descriptions, prises des papiers de Wil