jÉ M. Buchanan nievaocts apprend point son nom du Ben-
gafe;'maïs il nous assure qu’omle trotfve dans les étangs
dê :tohtés|;|e|.'prôvinc#s'arros'éê’s par le Gange.
cBl0tdh lui rapporte avê’c raison le pentophtalmos de
Nieuhof,‘ copié dans Wilîughby ( app., pl. 1 o , fig. i). Mais
le poisson-éléphant de Bénard et de„jValentyn, qu’il lui
rappo^teSitégalement, ayant les .nageoires ,verticales réunies,
ne peut êtee^de la même*espèce. .
D E SffiMAfiPUMiteMBliE S.
Les mastacembles ont le mùseau charnu de longueur
méd,idcre, ën simple cône,'non;conêâve ni-s trié en dessous j
leurs ;.dents sont beaucoup, plus marquées qu’aux rhyn-
chobdelK i il y a trois ou quatre petites; épines à leur
préopercule ,ÉiM’endroit: ©insérait l’angle, si-cette pièce
n’était pas arrondie.' Deux ou trois de leurs espèces ont
cependàri^.énpnr e l^es trois nageoires verticales distinguées,
quoique contiguës. L’une d’elles,
L e M a s t a c em b iIe ' u n i c o l o Ire
(Mastacembelus ,uwcolor, K. et Y. H. )
â'rCTé-’-ék^dyéé d é Java par MM. Kuhl et YaU Hasselt au
imitée royal des Pays-Bas, qui en a cédé un échantillon
au Oabipèt du
Ses formes générales sont'-à peu près les mêmes que dans la
rhynchobdelle ocellée,"mais sa tête est moins effilée, et ses épines
. commencent' beàùcôtîp plus-près de la nuque.
Son museau.charnu est simplement conique, pointu, fôrt court
et à .peine du neuvième de là longueur de la tête. De chaque côtç