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d’itri ^atpiereaü^qui i me?- pâïaît Pépriridrè
^ dJ £ q m est jpeiiit^àe^bleu c l a ^ sW l ç v e n tre e t <3e l ^ 'è ^ i o i r â ^ e Sur le
dos?sWVageoir^pærai^sètit^auiiatres.
Il ne serait pa&émpéssiMe* qna^il -fut de m jp e que M « -
tyagurta. :Ç)nr peut d a t a n t moins le regarderï;eqm-me une
variété d’une des 'espaces 4 dos^ra.y-é, qu’on voit aiïssif la
figure ^d’une Üèf,ces èJpècés'dânS le mérite reé\ieil*(p. 4^)-
Le M ^ uRre^P do^ -
, ,{Scomben darWaV^Houtt.J) -
Le .second des. maquaimfix. de ïfouttuyn nommé le
maquereau doré.
Sa fermetést, la même que dans \^ÿ,aponiciJiS, et il a aussi |Ginq
fausses,nageofi-^ dessusçf. autant d^sspus^ ^agi^^ couleur, bfun-
jàunâtre ou dorée Ig'distingué su&sa"rfimènt.
D. 9 — | A. flT Y. 6.
Il est long, de dix pouc#.
La ^eeorfêe figure- du livre japonais dont nous-venons
de parler (rpl ^ ^ la n n o rrte qu’ilexisie aussi daùs’les niers
de laCfcinë et du Japon un maquereau bMql^clMuie les
nôtres, mais^ dont nous rie pouyons rieflMire de plus.*Leux
qui l’observeront en nature, pourront sépïsjnous apprendre
si celt un maquereau .commun, ou s’il appartient à la série
desTnaquereaujt à •vessie natatoire,. ,
CHAP. I. MAQUEREAUX. 4 4
L e .s]V|^auEREAig MU- Cap.
'■ ^S'ddfrtber capeiîMs, nob-.p
Nous recpjnmandons aussi aux voyageurs l’examen des
maquereaux.du cap de Bonne-Espérance. Outre le sm m -
ber greé^y il y^eriuexistemn *
d e là ta illé e t 'd 'é l â fo rm e dÜr ’cé riirilun', mais d iffé ra n t’p â r des d e n t?
p lu s m e n u e s , p lu v ^ om b re u s ë s e t p lu s se rré e s, e t’p a r des; c ô té s p lu s
’ . larges;' ■ * I
Nous n’en ayons malheureusement que le squelette,
préparé par Delalande, qui a négligé d’y joindre le poisson1
entier, probablement parce qu’il le croyait le meme
que le maquereau d’Europe;