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( 7VacAmofï« rAoto^oM®#'ïï0b.j &famoëen>ühomboîde&i, BI, ;
^ùani7iinionrhomboïd&;h&ci)
La deuxième' es^g^amériçame de I r a ^ ia p tç ^ a it ëté
dessinée par Plumier sous les noms de seserinus pinnis
longioribm, et de seserinus majora cauda lunata, i»
Bloch- a*publie ne dessin (pl.*2©^)ffsous celui de chæto-
doh rhomboïdes. M. de LacépèdêfeMa’feit'sôn ac'onthinion
rhomboïde (t. IV^prSob^, lui supj^cfëàrit, d’apfë?ïe classement
que Bloch en avait fait/ l^s cafactèrès communs 1m
grand genre des cKétodons, erparticu]iërement ctes^dçnts
p e tite s fle x ib le s et mobiles, Màis dans le fartée 4po^s§on
est éncpïe moins chétodon, s’il gs£ possible, que le précédent;
car ses dents sont si courtes et si rases, qu a peine
on peut les apercevoir r.ÿil n’appartenait pas* autant qu’il
ïe fait a la famille des ïichès^ on pourrait par ses dents le
rapprocher des z e p s d ’autant que le vofrè de sa mâchoire
supérieûre est aussi trèà-unàrquè.
Il ert plus haut et plus.uourt que le bleu. En faisant abstraction
de sa queue derrière la dorsale -et 1’anate, sa îoûgpeur n’excède sa
hânteur que d’un tiers de celle'-ci; mais en prenant sa fenguèur
-totafe jusqu’au bout des pointes de sa ‘caudale, "éÛe comprend**!!
h^uteurun peu,plus de deux fine. Par suite, sa^tête est aussi-.uîrpèu
plus haute et son museau encore'un peu plus obtus que, dans .le
précédent. Les lobes de sa queue sont lân peu plus-longs à ipropor-
tion; ils prennent près du tiers delà longueur totale. Lesrpomtes
de la dorsale et du l’anale sont un'peu moins alongé&s et ne répondent
que jusque vis-à-vis le milieu de la caüdale. La pectorale est un
peu plus large, et les" écailles encore plus petitesj à l’oeil élles ne
paraissent que comme des points. C’est à peine si Fon peut sentir
quelque âpreté sur une ligne très-étroite aux^eux mâchoires; au
paJaÿelje-n® sens, abjoJumj^Lt, rien^et sur k l a n j ^ j e ^ ’^ ç o i *
qu’un point g a rn ie dents en-velours très-ras. Du reste; .tout-ce
que nous avons^ it:isde$ formes de l’espèce précédente, a lieu dans
et, maViré;cett.Bvdifférence ass.ez, jm^rquée dans la force de
leurs dent>ÿ,vil», estVHmpQssiblé'de ne pas leà placer; lune auprès de
l'autre../? £■**£ t -lÉwtR v *
;R. 8 lâ.,.6feMi è W i c- 11 et\8 ; P- 18 v. 1/5.
Dans la liqueur j >n»s individus paraissent, argentés et légèrement
teints de plombé vers l©id@s.i-L^s pointes d& la dorsale et de 1 anale
SQptdnunes ^ ajnsi que les bord$ supérieur ef inférieur de la, c^u-
dalet. fétapsec. i l^ p a r ^ ^ u t dW, g|is,>roussâtre, plus brun du
^ çfké du-dqâ. ^ figt^re^de Plumier fetij descendre le^plpnfbé du dos
par troiî.ppintes vertipales daps l’argenté des'flancs, et doniie une
teinte jaune ou dorée à la partie inférieure. -
Cette' figure-/ telle que noüs Tavons à Paris, et même la
cçlpie qu’en a faite Aubriet, est fort exâcïé pour le contour,
exce|dsé quelle supprime une épine au dés, et ne laisse
ap erce.v;oio aucune des légères '^adulations de la ligne laté-'
raie. .Mais” là ^ople que Bloch'en a donnée est très-infidèle
par les grandes écailles doht èlle couvre tout le corpS,
ou il n|y en a q u e^ e ,p e tite s{ èt meme la *mte«fOu il n’y
en a point du tout. Elle ne dcÉtrne pas’ meme teT'hombres
de rkÿdîfs tëls qu’ils sbnf’daus' le dessin original. Cèpen-
dànt<fc;ési sur je tte figure ainsi altérée-qu'ont1 été faits-tous
l'ès'^àrtîclès qui concernent ee poisson dans tes ouvrées
imprimés.; *'
Bloch donne :
s . D. 5/11; A. ^ ; G . ,
L’individu que fiôiïs avons décrit nous a été envoyé de
la Martinique par M. Àchard ; <?n l’y pomme aussi le quatre,
sans doute par extension du nom donné à l’espèce précédente.