inflexion* Une rate longue et gaêl^sti s^uspendae le l ^ g de iia ®toi-
tié antérieure xrc l’estomac.
Les deux ovaieps^ont intimement-unis l’un à l’autre enune$?ande
masse cylindrique, qui oycupeles deux-tiers. postérieurs de lajan-
gueur de l’abdomen. | s
■'LJWtengué' et iêlr%ite ~ Ipllrfi»
I toine épais, s’étend | süf«pMsque'to'ut'e lâ^ltîïfgueur de ilabdonaen, et
se termine en pointe en arrière «p'rès de l’anus^:
son intérieur, -vers son4tiçrs antérieur,.un eorpsglan-
. duleux assez dense, qui occupe à pgu près le quart de -sgusucfacç en
longueur.
Le squelette du lépidoge a su-rtout-cela.de remarquable, qu’il -est
du petit nombre de ceux où les interépineux etvks payons dorsaux
: correspondent aiix apophyses épiùëùses dés TérMRêà.
Ila c en tô riz e vertèbres,-dont quarante et une-abdominales; et
Tsoix^TOMaùdfes^^iOpmpiiis la
et tpapy«. l’a^nag|pteiB.^de la quepejiKlfe^sqntîtfutes ,pompi%|éf^:et
concaves à leurs.faces latérales.,-,les d^x dernières, exceptées ^ellçs
■ ont ^oute$,idu_pç>|é du rdos^nne apopliys^^ineuse, àdaspelle.î§i
c.olle le pédicule d un interépineux. Arrivera la peau, les -intérépi-
neûx^se ploient'en équerre, et donnent .une„branche horizontale,
qui se porté en arrière pour s’unir à l’iùterëpméùx ‘suivant; en^soéte
: que la suite de" ces brancheaformé tfhe'chaîhéîctiÙtiftue, sur laquelle
s’Ædfeui;ént4esTOyo'nfe 'ddrsàux8?Lîe'premiè%ilônne de plus^en'à^ânt^
une laine, qui vas’âttàidber à l’occiput et lient lieu de crête occipi-
tale. Ce nvest qùe tout-à-réait- vers leï-boutsdela 'queue ques fes-inter-
.épineux. sont plus rapprochés -que les vértèbres.r.,T
Il y en a soixante-deux en dé^ftus^^& s’mpssent anstfcpafdépr^
c, têtes,. mais il«n|y at que lès vingt et-quelques'derniers .qui-portent
dés ÿayôjiié. §
f| Les potes sdnt'grêlés et siritples, et s’àPaénent immédiatement ,aux
vettèbresi La' derhièrevertèljÿ'e abdominâlfe-a seule dés ^apophyses
transverseS' dirigéeS îvers 4e- bas. 5
Les os de l’épaule ont peu.déiforîee. Le surscapialatre; est petit ; le
scapulaire étroit et alongé; l’iiuméral en équerre., assez étroit. Le
- cubital à une trèt-large (éehà®crnré à son bord jmméral. Son angle
*‘postérieur est proéihiupent en arrière et arrondi. Le râdial n’a qu’un
trou,.rond. rLe JCOra.qoidien est très-gr.êle. Tious avons dpja vu que le
Ibàssin ne-consiste qu’en-un stylet grêle.
-«’Voilà ce ajue nous avons obseryé sur les lépidopes die
■feos deux mers de-France qui seront, trouves-a-notredisposition;
; : '• ■ '
'Lesv.éesfcripti ons^dfe nt>s prédecesséuïs s!aceordent assez
aveictlà* nôtre, pour c£ue nous devions CPoire-f quils dut'vu
là même .espèce; II n’y a d|e- différences! .que'- dâns le nômbrë
deserayôns-,i est GjdS différeneesj'-s.ônt très—peu importantes,
eUes-s’expliquent par la. d i f f i c u l t é les^biemeompter dani
uneisilongue dorsale e t dans,une, apale du les an^rienrs
sont si petits, >fe£hrasen jdaiçàei: D. 9% A,4 5 ; ffbtoen,
D. 4 0 4 ,*;A.'4-f ; Shaw, D. 1 0 5 ," A. 2 0 ; Montagu, D. 105;
A.‘ \ m M.; Rissd^î D. 402 g p S 22 ; eft 'dans sa 'deuxième
éàiéon, D. 1 1 5 , A. 22 ; mais 4 4 5, est probablementVitf1
fscûte d impression : :.Mi Rafinesque, D. environ 42*5 ; A. 4 5 ;
dp yd^ë^quf’îï1 ne -les donne pas commq^certainS’ : JM. idQr-
bigny , dans^une,'%scrlplion manuscrite, 4D. 105 ou 4 0 6 ,
A. 20t is.es miens," c’qjnptés av^Stoimsùr plusieurs- indivi-
dusyisont: D; 402 ou 4 0 5 ,-A.r2 5 ;-mais, comme je l’ai dit,'
les premiers dé l ’anale sont souventmites-difficiles,-a voir.
grand-lepidopse & mange^ebsa'.cfeair est même ferme
etldélicate ; selon M. Rissod %
. SÉfôaij en Avril et eAIMai qu’il approebèdês'côtes, : dn
lujnjgeBidialors auitramaiioSon^^éjpwPOokdinaire; esttd&ns les
profondeurs ;mdyenn;es.il ne parait pas: vivre eu speiete. Sa
fertmHë^t pleine dloeufs au printemps. !
;]lil Selon les .pécbeuW qui prirent l’individu de; la cote de
Devonshir§3tq.ue M. Montagu a.déçrit, il nageait avec une
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