peut avoir lieu dans une même espèce. Nous venons même
de vqir, dans les collections de M. Lamarre-Piquot ^ une
tyoisièii&e tête^^ui est dans dès proportions patermédiaieès,
et qui vient des ileS|Séêlitlles;,elle est accompagnée des
ventrale^, qui sont droites ,^ompri^nées^et longues* ainsi
que la têt®, de plus de deux1 pie dA: bn y voit des traces >de
tr,ois;vrayon's, un très-cqprji,et un sbcond de deux tiers de
la lônguéqrlîu dernier. Mallieusreuserùent M. Ilamarre n’a
pu nousrien dire de la dorsale ni de la caudale»*lGe p ois-
son .* con%m4aux fSéehiîlIes skws le*nom- d’empereur, en
(juitte ^rarement ik ï^ ip e l. On en a vu de yiugt-cinq à
trente pieds de longueur.
Notre deuxième espèce inconnue, que noul appellerons
tmcipiti-rostrisy a la largeur du'milieu ,dix-i^euf ou vingt
fois? dâmrsa longueur j elle diminue graduellenaent0èt est
plus a|>iatie'que les autres Toutefofeses bonds sont euqore
trèssarrondis |e t nullement tranchais- * Nous ^poss édons la
tête ‘entière de cette espèce ,tj§| selle ressemble beaucoup
paç ses détails à celle d u :i:etr»apÉurus$ llntervaMe des yeux
y esfclaÿge et ^ la ti,^ e S q u e cçinmie dans re&p'aidônr Nous
n’en avbns aùOTne autre partie.
D’tPprès un feagment de museau trop- incomplet .pour
que npus en puissions donner les ^proportions ,, mais qui
diifiire ^ r|a^<ïDii*oV. d e «bus les prëeédens.j.nous^pout
vons; affirmer, qq’ii existe enéoye au mbins une troisième
espèoe^n connue.
D É ra iÊ |]ftÉ GRANDE TRIBU,
j . e i s ÊQommiÊm^D'B.S' À, ravoüt* épineux mu n o s
... SÉPARÉS:
dàjeSî scombërbïds^PRt- la. cat\da]e généralemènt tres-ro-
buste jài mais-souvent leurs autres nageoires^ verticales sont
très-faib^s. Déjà nbusïten avons^vu une première grande
tTibmoù^arri'èrëwdml'a sècondep|©rsale et* deyïanaîe n’a
point de membrànë^ëontinuë'ëbtrë^séslayfeînsy qui ainsi
demeurent-libres^e^séparés,, spusflemom de fau^esipin-
mules.iPai^lepux donttmous allons* fairel Thi&toire /Sc’est la
premi^e4do|'.sa*le/jqui manqùe>de membrane,'et dont les
épine.sf sont, libres*,'.et* se meuvent isolémenfifNous en Verrons
.même qukj oignent èkeemâra#t^e? celui dn la'première
tribuy.et quiiont désâfâusses^pinnulê^^'B^même temps que
dè^épisues libres snrdedevan&idu*dos*.$jP
.A.la suites^es?ger^ês^d*teette deuHème trifeu^ qui se
tié^ne»%ptb^leplps grand .nombre ■^ètcamct.ères^ le sp i-
lô t;ë$^ tps dichesy^kc^ trous en plaçons^ubsontrà peu près
â^eàrve-ux dans le même ,rappörtlquedesf,espadons avèc la
première, ppstrrà-dire qui:manquentde.ventralesyejt dont
par un^hasaidifsingulic,r lë mmseaufe&1>aussi un ^ û proéminent
tifcesaont les rhyn'ehobdéliés et le§ mastemeniblesj
e ti^ ep re ï’àrla suite dp >c®ux-là-vienrfent leswotacgnthei,
qui onp'dès ventrales et^Vventralësâs^ûs 1’ahdomêb, mais
Oiùrk^éfaut de membranei doa^lil’©sftëi^»^,plu#sensible
que dans aucuns-des autres', puisqu’il m y $ sur eette partie
que dbs^êpinëS1 libres, sans aucuns rayons réunis ëïy nageoires*
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