M. Bélenger nou||pn a tout
semblable, mais qui a virigt rayons mous à la deuxième
dorsale lëï dix-huit4'a l!àn‘àfe:*Oes légères dlffére'kfeè’s ‘de
nombres neso n t proMblemëntJpas'spacifiques. ;
MM. Quoy et Gaimard l’ont trouyë^à Vanicpl^ et à
.Célèbes.
Le.\Ghorun^èmîEja, fortes épines. |
(Chorinemus aculeatus, nob. ; Scombm&culeatits% Bloch.)
M. Les.chenault nous a envoyé de Pondicfieïy, sous le
nom de tol-paré, un petit poisson deree 'gt)us-genre/
• sans-aucune tache-, pas même ta la dorsale, et «dont les épines, du
moins k s cinq dernières, sont'phis.hautes-, plus'fortes ^proportion
que dans les espèces précédentes, et s’écartent davantage àVdroite
et à gauche, de maniéré* à former une défense’ #èSt^respectable.
Sa formé est ùn peu plus haute que dans le - mauritianà, et*son
m^sllàire est un peu plu? étroitWS^s écailles ne paraissent aussi que
comme des petits pores arrondis.
L’individu de KH; Leschenault n’est, long que de deux pouçes ;
m||? M Des jardin? vient de, nous en envoyer dedlsle-deÆr^nce
qui en ont pois.
De tous les choriuèniesJque nous connaissons,, eèltiî-ci
est le seul qui réponde à la figure donnée par Bloch (pli 3^ 6 ,
fig. i ) pour représenter son'scomber aculeatus. Gestdonc
à lui que nous laisserons^ce nom, 'mais^ën ayant bien loin
d’en écarte^les espèces d’Europe ou d’Amérique., que Bloch
a confondues dans son texte. S’il avait .Lut connaître l’origine
de l’individu qu’il a,fait représenter, nous mettrions
plus de certitude encore dans ce rapprochement.
Le Chorijvème Æ
« (i.Chorihemus to i, nob.)
M. Le|ch,eüault rfous;.a aqssi envoyé, de Pondichéry, sous
le nom de tol-paré3 un cborinème qui nous., panait se rap-
procherttteafccoup du tol-paràh de M. Russel1 (pl. i'38 ) ,
et_qui cependant®’est pas tout-à-faitde même.
■Sa forma| plus al'ong&ç'quë celle du commer-saiïimL$ sa tête
plus 'conSéklïd ^donnent la même apparence qu’au niQadetta. Sa
hauteur esl'cinqfpis ’et demie dans sa longueur, ’dtlsa tête y est six
fois, .Sà bouche n’eit fendue que ju,squé soTi?'.le bord- antérieur de
l’oeil;; sa mâchdirê'ipferâetiére^dépasæe l’autre/sop- profil»n’est pas
q,Qny,exé, mais descend -en ligne droite ^m ^ t-m lm a un peu gon-
^ é ijS é s ventrales sont aussi longues'que, le? pectorales. Ses épines
dô’rsales lrbres , au nombre de sept, sont plus égales et moins plates
que“cdans 4e,cc©mpiersqniex\jmaais elle? se redressent de la mèmè
manière. La deuxième dorsalênt Panale ëlèveiit peu leur partie; tin-,
terièuré. Des lobe? de sa caudale-“sont aussi un peu plus courts à
proportion. ;Les douze derniers rayons de la^secônde-dorsale et dé
l’anale sont presque libres.
; D .7 — 1/2©; A. 2 — 21;. P." 17; Y. ï / e ^ '
Cette espècè^çst du nombre'-de celles doiinla peausatinée sémble
ri’avHr; au lieu "d’écailles, qu’une, infinité de .iÿtatèsyàiguilles formant
dêà stri^ÿr'ès-Tâppro'tdîées-. Sa ligne, latérale, marquée par une
séri^très-étçpite de petites élevure?,jfait tua^ngle extrêmemeiit obtus
au-dessus au tiers posteriêur’des peotorid.es.
La couleur* àeee-jpoisson est Bleue en d'essais et argentée sur le
reste du corps. La ligne latérale -ne sedetûche point du fond. Quatre
ôllicanq petites taches''d’un bleu foncé', 4« forme ovale verticale*
1. 11 est io.rx de remarquer nue M,. Léschcnault, lorsqu’il nous faisait ses .envois,
ne cônlià'issait pa’s* l’düwageue M.Eusse!; eri’*sorte que les' coïüddênces des noms,
qpand elles existent, né viennent pas de rapprée&emeûs qu’il aurait faits. *