nombre., comme la daurade lesliebesvles ont presque
en plus 'grand nombre que la plupart des: paissons. Rondelet
( p. a 5 3 ) n’en donne qu’une seule'à sa ; première -espèce;
mais c’est qu’elles y sont réuûies en une seule masse
par une cellulosité serrée.^ '
L a L ic h e amie.
■ ( L i c M a r a m i a b e r tùnia, L i n n .2)
Nous décrirons d’abord l’e|pé.G'et?.,a ligne latérale très-
arquéeqn avant, qui est le deuxième glaucigs de Rog^^et,
et Yamiç <|e S^yiani.
Sdn â ô rp s est ccftüprimé verticalement et "en forme d2ovale allongé.
Sa plus • grande hauteur ést. danstfëjmilieu, entré?Jfeÿôm^é^ensieni
'd e la deuxième dorsale et de l ’anale, e t-jE&&pogtenüë. trois fois-et
demie dans la longueur totale, L’épaisseur est .deux ib is f&t d emie
■ dans' la h a u t e u r .c o m p t e r du p o in t dorij n o ü sJV% ^ ^ s^ ^R a fle r,
l a lig n e d u dos descend} -et celle du ventre mcffite asfèz uhifor-
méfîiênt vers le museau et vers là qüeue ■ ic i elles devien-ne'rft jfférî-
zontales p o u r u n petit espace. La'Mïtgûeurxîe là tête fait le' cinquième
' dè' l a longueur totale. Sa hauteur à là nuque égale à peü prè*à Sa
longueur. Le diamètre de l’oeil est cinq fois ef dêmie'daiis sa longueur.
L’espade qui ëst derrière lu i -est^dë’jtïb is diamètres} Celui
q u i est devant» d’up diamètre1 et demi. L’intervalle d’u n oeil à f autre
est de deux diamètres. Le? m useau,devant fes yeux est 'légèrement
.convexe et*un peu obtus entré 1res“yeux. Le îr.om ’est presque plan •
mais immédiatement après commence une n u q u e assez tranchante ,,
et to u t le^dos demfeurë ainsi.* Les* o rifim f dë la naiàh é^sh'èt plus
' 1 Arisfo%è5jjHisi.. anim.-, l. ÜIy-
Saly.., p, X? i y Scomberamia, L. etBl. Schiï.' Camnx amie,-lac.; Cenironote vadigo,
id-, _CenfronoteJjrzan, id. ; Centronole Ijzàn, Risso y mais ce u’èst point du tout le
vrài'lç^ân. de ForskaJ. :
près de l’oei-1 que du museau, e t consistent en deux trous ovales,
verticaux, rapprochés;l’un-de l’aù tîe , dont le postérieur est le plus
grand. La mâchoire.*inférieure av an c ^ à peine plus que l’autre. La
bouche çst fendugjusque.^qps 1’oe.ilALei(s.qu^-orbitaire enIre l ’oeil et
la-bouche; est éq o ^V p q .s aucune partie saillante, et ne couvre dans
l ’état de repos que la moitié antérieure du maxillaire. L’extrémité de
ç.&luUcïké'porfë jusque derrière le bpEd.postérieur dé l ’orbite. L’in-
termaxillaire est faiblement p rotradtile , assez large dans Je milieu.
II. s’amincit* bea#Q<pip. vers? la "commissure.-Le maxillairé s’y élargit
-comme dé,coutume. Il n ’y ,a p o in t,d è lè v i^ ., Chaque mâchoire est
garnie à ’ù n e laiïgê-.bandç dq dents -eq .fort velours* et il y en a une
bande étroite 'à chaque, p a l a t i n | et une-petite, p la q u e triangulaire
,au-»deæànt d u vompt. Le yqile derrière .la .mâchoire supérieure est
bien-marqué. La langqe est triangiÿa ire , large, .très-libre, et a dans
son,miheq q n e p etiteplaque p j$ le , chargée de dents en velours ras.
'Le b ord antérieur d u ljmbe d u préopercule est en-are de cercle.
Le boxd.del ’os, lui-même fait dans le bas/un angle u n peu. saillant,
m%islarrondn L’ensemble operprikire, n ’a pas le. ti(ers de la tête en
lo n g u e u r ,'e t est aussj. ar*r.oüdi^m^is fait à sçn tiers supérieur uxi
angle1 légéreinentpaiMaql, qui semble, eobimun à l opercule e t.au
squs -joper.Gule,,'ret l’on, sent .g^ec.'le doigt que l ’pperçple osseux se
t e r m i n e p a r ,deuxp.eiqtesfpbtu§ps. et faibles,entre lesquelles est une
lég è re éch an erp r § La ligne de séparaàoo.déqé^deux pièces descend
, obliquement égayant,, juSqu’u n p e q , au: d p su sh j e l’angle a rro n d i d u
n r ^ p S a S p ù M l e rencontre celle.de^linteropercule, q u i descend
' obliquement îeqA rn èÉ é ..l?o ü ^ es^ ^p iè4 es o n t le u tq b p rd s entiers.
La fente % .1’quie règne jusque soqs k b o rd postérieur d ed ’oe il,.ô ù
le^det|x,meMbrÿiîes croisent u n peu l’une sur l’au ô h , et ^ ïn s ^ e n t
, souS» un re p li;de k^pef}i, q u i ré u q it les deux branches d e ,la m â choire.
cW . I 10 m embrane.a n eu f rayons. Le museau, les mâchoifes
et les opercqlgg s p n tn u s ; mais la jo u e est écailleuse, L’épaule a-un
petit. 8|pa„ep liss^au-dessqs de la-.base ,de Ja pectorale. Celtepageoire
.■s’attaché u n p e u au-dessous du milieu, et sa base.finit obliquement
„en arriéré : e lià ii’a paS^Je h i^dème deda lo ngueur tptale. Sa la rg eu r
fait'moitié dé*sa longueur. On y compte vingt-un rayofis^ d o n t le
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