Bloch donne-a sa-dîgure une^belie teinte verte sur le
dos, un fond' argerété^ ave© des pectorales, et des*-ventrales
jaunes; mais je ne sais £ur quels renseignemens.
Nous., avons des individus d’un pied et de dix-huit- et vingt
pd.uces,
Le squelette de ce premier'1 sauteur ressemble -bêaucoUp’^à’' ce’ttx
de nos lickes^ d Europe, sauf ce-^qui détermine les proportions
extérieures. Il tient surtout du glafcës* Q;u,d&-la seconde-espèce
de la Méditerranée, parce que ses’vertèbres caudales, sont munies
,| dé crochets en .dessous, et n’ont pas de ^t£g,usj.à'leurs apophyses
inférieures. La queue a une vertèbre"de p lu s ^ é qui en •fait lïnat-
cinq en tout : une singularité qui le distingué^ëstLune îna^sè,p,ss’&se
déforme oblongue, qui reniplit en grande partieda c'ôncavitéJpos-
térieure de Ijo’s huiiîéiài et doïït il n’ÿf a pointéeHrace'dans les
autres'espèces. î i *
-Nous -n’àvons pas eu occàsioir d’examiner viscères:^
L e ChOKINËME PA
( Chofineinus pâlomertay nob-
M. Plee a trouvé dans^te%l^de?]f|aracaïbo un sconibé-
roide très-voisin de'ce ptëinier sauteur, "
et qui a.les mêmes nombres^ de.^ypnsf; mais ,quâ est plus alonge.
Sa hauteur est près de cinq fois dans saîbngtfêur. Sâ ligné latérale
fait .d ahqrd^n ou deux serpentemens à peine sensi^les^,e;t au total
I on l u i dire qu’elle est à peu près Ajpije.-.A Tétât sepil parmi-argenté,^
teint de bran^ioîâtr.e sm^le^Qs^ '0 n | g ^ ^ ! s ; ^ S u -
nâlres.’pix de ^ e |^ ^ ^ p e û v é n t passer pqür5 | i faussés* n a g é e s .
-Les sous-orbitaires qui Vécouvrent-! sa joue sdnt beaucoup moins
étendus, surtout lés supérieurs■ ils^n’en occupent pas plus de
moitié.ivr-
I<individu.est long de.vingt fÆ im..phnee^ , ,
dans le lac; ion l’estime
beaucoup. Les habitans Rappellent palometay nom qui en
Europe est«celui de la eastagnoles, mais que les Espagnols
d’Amérique donnent à pljisieiirs autres poissons'de fôrme
im p rim é e \ e t qùi n est ffeut^iêtre qu’une 'corruption dè
pelamyif,
I ■ L e Ch-orin êvee Jg-ïiari b i r a.
* '( Chorineqiüs guarihifa yïjfôb^1'
M. «le .prinoew Maximilien de Wied nous, a envoyé un
tro is iè S ^ au,Brésilwet qui nous paraît différer
des deuxpréceqên^^
parce ,que ses ^rnis-orbitaires s’étendent , sur J a ÿoujB jusqu’à tqueher
« le bord antérieur du. limbe d%>som.préopercule. Le .bord postérieur
de ce Jambe osseux est. bien distinct îde- §on„bord> membranen^j^aii
H moyen -d’une ligne ;irrégulièrement crénelée-’La ligne latérale est
c pm m e d am le p â r/ o /n ^ a . jfH Jj \
'.(S^dyois pQissoIè.pouÊraient bien, au teste, ne former
qnndés^yari^es d’unp seule espèce; mais if n’en ^ t pas
de même des deux suivans-
L e Gho& ^êm‘e' pànsèür.
( i^ormemus sa liam!^oV .ktiWre^m'èus't 'occîdent^lis, L inn.)
La Martinique^ en # u n qué F ^ ^ c oM o n d 'a^ëC le pre-
nàief llffhs? le nom de* fauteur; iLIWùs" en a été* envoyé
f u s ce nom par M. Plée.’ Nouâ IWônS aussi reçu du Brésil,
et M. Bjcord nqus’ l’al^voy^Me Saint-Doihinguë v où*on
l’appelle, sautille ou sautïllpU C’estyLe ^oi^s.on que, Brown
a ^ssezr,d>ien représ&ijté jggttj ;|JJ| fxg. 2) ^et^qu’il caraotçÿse
d’une manière «ie^presSET|©?ÿ en le nommant saunus a rg en -
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