504 LIVÊE IX. SC0MBÉROÏDES.
L e T rachinotb argIeîw'1. .
( Trachinotus argenteus,\hob^
La première espècëÿa été .envoyée de $ew-York par
M. Milbert, et de Ri o - J anéirop ar M. Delalande, et il nous
a été impossible de découvrir aucune^différence entre les
individu^ originaires dé ports sï éloignés?"
Leur hauteur est deux fois dans leur longueur, sans y comprendre
les lobes de la queue, qui sont quatre fois et un cinquième dans la
longueur totale. La pointe de leur dorsalè* et de^leur anale, êh se
couchant, n’atteindrait que la Moitié’ de la longueur de ces na-'
geoiées/ On feinarque Sur le limbe de leur préoperctdé dès .raies
un peu' saillantes, et le long de la base Ale leur opercule'dt-S st%ies
obliques. Leurs dents en^velout^sont très-sensibles ; leufligne latérale
fait cincj Ou six ondulaticgas très-légèreS et peu régulières. Il
y a ta n tô t cinq,,tantôt six épines libres èur lefur'dô», sans compter
celle qui est couchée en avant, ni celle qui adhéré à 4a basé d’è la
secondé dorsale, et qui semble faire jsuite aux autres." Leurs rayons
mous de la dorsale er de l’anale sont plus nombreux que dans les
espèces plusAtaqÿes.
D.;5 ou 6 — 1/24; A. ^ e t J
Ces pôissons paraissent argentés^* avec du noirâtre à la qx5infe
de leur deuxième dorsale .et sur le milieu dé leur pectorale.'
STos individus sont longs de âfe'poudSsr
Aôus^aVons le sqUélêfté? du trachinoti^wgenté; La fome-de Son
museau tient à ce que ses os du nez desçendeitt ■Verticalement. La
crête, mitoyenne dés.on crâne est trèséhaute. La fért^,épine ,co>u®hée
en avant de stin, dos fait partie de son tr.oisièmte-kjtterépineux. Il a
vingt-trois vertèbres, toutes comprknéps eft plus hautes qi^e longues.
C’est a la .onzième qu’adhèftent lè? inter osseux' de la première .anale j
ainsi il ÿ en a dix pour l|àW®liêh. La dixiéme SffirerçB sis apophyses
trav e rse s en- anneau, ou du moins très-ràpprochéès en
dessous.
L e TRAcmNOTE ^ ^ vrA
g.(, Tr^cJiiflQtus£ugreuts , noh)^,-
La second^ espèce' de ces tTacbinotes^ ob\ong^ e£t de la
Martinique, d’oiuelè par TjjL Plée.
‘ Life,ne -nous paraît différer de celle que D e v e n o n s de décrire
tfufe’jfor une,teinte générale d e le ttr e foncé, a v id e s reflets florès
aux’opjercùfes e t&la ^ p ^m n e ^ X p |t|^ | o f t j o lk p ^ sso n : d f <|Mie
, rcôül'eür singulière. ?
i^esinorHbres ,sont ;conîmè dans l’espèce précédente.
D. 5 ou 8 # - g jg f
HH iridivid'us”n’ont qurè quatrevpoucls bu quatre pducé’s et demi
^ L é TRA'cHIN»âfrB#RE.^
( Trqêhmotus pmnpanust noblfpj?:
iWsième de ces espèces à forme oblongue est la
plusîgmnde;peï.Sbesf de fa queue sont plus longsîpt plus
pomtnsjîâp d à t s n ^ ltu x précedfept^ et impossible
* de lui sentir/d'è dentsiux mjrÆoires, mêr/e avec le doigt.
Aussi en avons-nous-vu un cfessînr fait au Mexique,, et qui
portait* pour „étiquette zeus
dents'Slîst- point exclusivement propre aux zeus ^ et n a
pas-même lieu- dans toéte£ leurs ;é%èpgs«; en-sorte qu’on
nevpeut. établie sur ce caraétèoîS'Ëés ^ M P É génériques
-certaines'. Cette épithète de pampqnm montre d’ailleurs
qùe^ofri Ifb^ldgie avec '“notre première* ëèpe& avait uté
sailMf malgreHès différe'MfÊfde leurs couleurs et dé leùrs
^ § jM io n s& S H U - ' JL.-*V , ..
L’individu que nous dérivons a AÎe^apporté du ‘Brésil
pay feu lfelalande..
m