en même temps dans'celle du thon sa figure et son anatomie,
qu’il empruntait^ Tans'le dire^ dsls* manuscrits de
D uvedmey et deMiahiré.1 * IBloch,
copiste de Duhamel, a rapporté|Çomme lui, à
la bonite ^ce qu’il prenait d ans son, ouvragé *,-tandis qu’il
rapportait au th on'une figure de germon faité par Pluimer.
t é germon à aisparu “ainsi en quelque sorte* de l’histoire
naturelle^ pour ne^se^ remontrer dans M. de~* Laôep^dé
(t. m,, p. i j que d’apres "CÔmmêrson e^comme un poisson
de' îaTnwIP Fàcifiquè.,,
De germon 'de la l^técUt^fràr^e à eprpu^mn^sort non
moi&s Éizajÿe. Duhamel (p. ap3jnù’en; _Æte (p^ .le uom
d’aljilongfeî&omme d’unprassoirqui se'prend quelquefois
erf "Siciléa^vee îe -thon. .Gétti4 l’â fait connaître plus eü
détail, etliæez taUf/ en i yq.8, ,sbus^'mbm à peu près
semblable d’ala-longa, qu’il porte e# S ardaigne, y î qui
marque sf bien Ion principâl caraclere| mais Gmelin, en
c r ia n t tïeftr/ ’à Taiymmfaute d’impression, et'a mis
«/fl?M«^.,T^esyqrsÿ chacun a fait um sco^bre .aïatiin^a^
que pereorine ne saibôulretrouver, tandis.que nôs peux
mers ^offraient e# abondancKÏ,espe&è dont on'jfvkit altéré
le nom. Bloch même, qui eite quelquefois Cetti dans son
Systeipê poslhnmte, n Ê$nea dit dqg£ettê espece.
G’eät^ßi N,d$Me la Morifiiëire’ qui a* côtrfmence cfê-
brouiller-l’histbire .^è' nirtre germon 'Se Füîjéân, dans un
m épi ôlre” qu’il présénla4 if l’Institut en. i 8 13 sur tui? pecne,
].. l.^êiShes^-parL;,»,;!«^!. ^w d ti part.•
p. 36. — 3. Idem parfe^ m 87 'et g4V^ett^1 figure fiije -Plurnier'a'.ét& gravée -pài|
Gauthier (• O B s e r v a T O ^ y ^ ^ m a i s ' confondue atissi avec-'iç'thon^—*
4. jflfei. nat. sard., ti II I , p. 19 1 . — 5. Lacépède, t. DI, .p- sfdj Sfaaw,-t.-ÏV*
part. 2 , p. 5go, etc.
: v CHAR. II. THONS. 89
mais où. il n’en diAnfa^point de'description. Pour pouvoir
en faire- une d’apifès nature, nous nous sommes adressés a
M. d’Orbighy^'çorresppndant du Muséum à la Bochelle,
iqùi à poussé l’obligeance jusqu S s’embarquer avejb les
pêcheurs pour sef procurer, et pouvoir nous envoyer des
individus. en,,meilleur état. C’est d’apr^^-,,ceux que nous
lui devons, que nous allons traiter de cette, espèce intéressante^
IjÉ
liet germon deafChséan est uh beau, et grand^poisson, qui ressem-
’ ble, au thon-par la plupart dfe ses détails* mais qui s’.en, distingue par
un trait ïbrtfrappant : jd©s<peeto raies ,qui .ont én longueur levers
de celle du corpS^et ;doiit lapointe se porte jusqu’au-delà de l’anus.
’ Sa hauteur est quatre fois et; demie dans sa longueur, et «pn épais-
• . settF fèivles deux tiers de sa hauteur. La longueur de sa tête n’est
que trois fois ef demie dans celle dit conps.Le diamètre,de l’oeil est
quatre fois-'et demies dans la longueur de la t-ête. Le museau est long
• ®un; diamètre â’oeil et denfiv et la partie de la tête;derrière l’oeil fie
• deuxîdianaêtres et quelque chose. La bouche n’est fendue qqe jusque
sous de bord antérieur de l’oeil. jWdents sont? aussi petites ÿ apssi
peüi selrées-quê' celles du thon. Il y. a a chaque palatin une bande de
velours-trls-râs^et la langue,èn est aussi;garnie..Le préopercule n’est
Udûrbê niîeh; cercle ni en ellipsfe, mais comme tronqué ou Cerné,de
«roisdignes “dont les ^angles'de rencontre-sont Arrondis, L’.ensemble
'Opeteulàïreest'arrôhdiendemi-eercieiLapeetoraleÿétroi^e, longue,
pointue et arquéeÿ aex^ptement Informe d’un? fer de feux -, elle s’at-
n au milieu de lahaûteuridu.pQisson ^sa po inte, va plus-loin, que
la deuxième? dorsale et que lç.Buliew*de l’anale. On y iCQjnpte^reiite-
cinq ou trente-six rayons, dont les,-.derniers .sont fort courts. Le
corsektilui prêteun sillon presque aussi.lpjtg rqp’ellfi,,®! epritre
lequel seaplace!son, bord supérieur quand elle §e rapproche ducolps.
Ge corselet est presque aussi etèndp que dans le thon. Au-dessus,de
la li^éffetéralei il n’esi3ffiéhan@i1é : *qué jus(p;%. vis-à-vis; fa dixième
I l éfdnèrflorsaleÿ^! pointé dtitoyenniO si porte qptant en, arrière qpe la
»h pteetô raie elle-mêmeï v -