1 occiput vers la pec^^^ile. EesJ taches dé la' rangée supérieure f au
"nombre-de si^ou- se^f,.commencent sur la ligne latérale, .et*$ont
ensuite au-dessiu|i^usque sous les premières fausses nagéaîW Celles
de l'inférieur^ au nQmbre de quatre ou çinq^ ont L’air de continuer
la bande bleue'de l'occiput, etHranchent Hèaucbüp^ur l’argenté du
■flanjp. Les na géoires sont jâurïâtres\- i iy a une large tache noire sur,
. ,1a partie antérieure de lafdeuxième^dofsale.
; Cette espèce deyient grande, L’individu rapporté par M. Dussu-
mier ésf long dé vingt posées. *
jjj jN°us^ en trouvons une ass^z bonne figure 'dans l^ 1 Recueil
de Vlaming ( n.°:3 4 ) spus les“nonÈ holllinalre de
sanct-pieters-vi^viif-^jinger-yh: : orf aj otpe qu'en malais
il se nomme lasi,jet enïpdjjrfugais pesqqe-pao.
■: Renard a^csopié dilfte figure* mais peu exâctemen$(i.repÈ®t.,
pLulï , fig.’ 86)* et leraaimme saint-pe t^àmm poisson de
cinq doigtsyce tjui est la traduction de! ses nomfs hollandais.
Elle est aussi dans Valentynr(n.°5u), mais autrement altérée,
et y porte le nom de konings-vish-met-oogeJf^pôî,s§fin fo'yal
avec des, yeux). Gèt auteur le dit ferme",, gras ét'dp” tres-
b.on goût-.
M. Dussumier n’est pas du même ayis; j j en a trouée
la chairisèehe ifet :peu agréable : mai&fiqtte^ifféjieuce.'tient
peut-être à là. saison b u il én a mangé.., •
Le Ch o rinè mè m o ab e t ï a.
( Ghorînerrpis n\padetta, ,nob. $ Lidfiïâ môaâetta * EKrepR |
M. Ehrenberg a rà)f>pôrté de la mer Rouge u n poisson
qui est exactement de la forme dd^prédédentH-?
et dont les éckilleV ont aussi là forme de rKombes pninfnspmalg
qui ne montre à » lig n e latérale qu’un angle à la place ordinaire,
* c’est-à-dire au-dessus dç la pectorale, et où la rangée' inférieure
de j»int.? R u reste il a de même '4© de».'-iteiïit. de
. bleuâ.tre^TJne bande bleue, plus -foncée ^m^terminée, va de la nuque
à la^pëctprale.. Les ^aphçs,^©ptq>eu marquées. Il y» a du noir à la
deuxième d©,rsale.„Les nageobe&sopt grises: ,
D.
Les m^ivisjps sont lqngs.de h u i|d d,Vc pnuqçs., »
Eès AraBes^é MaSsuabîlîf nomment mocidettais.
On l’a aussi de Trinquemql#-par, M; Raynaud.
Le GhoRii^èinIë^pe ‘Matjrige.,
' ( Chorinemus mauritianus, niob.),
MM. Eevsson«et)Qârn(ÿt on,t rapporté’de l’Isle-de-Erance
un petit ppisson :d’e, ce- sous-genre. trës^seînblaMe, au moa-
detta3s:
mêrifl? par la^tacÉe ' noire^ oe la, ’deuxième dôrsàlê, mais"1 qui n’a
IScuS^ fâmes sur ’ nbjiëMànt jf 'qûë'ekte
absence dé #ôMës/nè’LuT, cbmïbé 4dans‘{^g’mécuS,Ai^ih.n signe du
1 ^euné^â,^ ,iba"'pëaÜ> offre une8 ibfinité de petites écailles ovales et
liss.es-, dont, oïl ne distingue bien la nature>'<ju’à-la loupe, èt- qfui à
« -\ l’oeil nu ne semblenÆjUufe des •MgMfyEJtouSfe .distinguent de, celles
des aéux precedentes ^ parce. .qp^gBspspnt arrondies à leur extrémité!
L’angle de sa lign^ateraie est aussi tres-obtus ét arrondi. Ses
épines* do rsjdesd irau'‘h^mpre .diLjlgR^ dont ln première est très-
petite, ne sont pàstr ès-aplaties ’• et slecartént un peu eù se redressant.
— tj&. "
^ e poisson est argenté > et a le dos, teint de bhmâtre, sans taches
sur les flancs ni a l’épaulefSes nageoires paraissent d’un gris jaunâtre
, ;éï. if y . à ufte' tâche-noiré sur la* pointe antérieure de là
d evxième .-dorsaie. H
L’individu n’est long que de quatre pouces et démit |
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