pêche de la pélamid^, qu’il nomme et Duhamel
lui-même a composé cètte partie son artielè sur de.s
mémoires dont la plupart concernaient noftpas la péla-
mide, mais le germon ; en sorte qu’ilè s t irr||k>ssible d’y-
déméltyype • qui appartient à l’un et a l’autre pafs&pn..
M, EMinesqulè1 dit quelle passe en Sicile pour un excel-
lentpoisson ^ e t y est plus estimée même quele^germon.
Elle v arrive en graadesabondance près des côtes au printem
p s ,^ Fbh en ly e nd béaîtéoup dans des* thonaires. On
la saie et la prépar^ommed'èTthOn, et elle î^ s tp â s moins
comptée que lui parqji lés objets les plus importans du
commerce de féette île.
Selon M. Risso, elle est'de passage à îïicRlm printemps
e t en automne, et pn l’y prend a,U§si; dans les thonaires.a
•Il ne peut j avoir de;doute que ce nesoit; ici,' comirite
Rondelet l’avait#recônnu, la véritable amia des anciens.
En effet, cette amia est le :seul poisson <he cette famille
qui soit représenté comme féroce et capable d’attaquer dés
espèce%plüs grandes, ce qui convient très-bien aux dents
aigues d e ^ ^ tre pélamide à 'dosTrayé.
Aristote p^iie même expressément de ses: dents.,. « Ce
« .poisson, énPii, a la dent forte ;pn a "vu différenspoissons,
« entre autres une la trie, être entraînés dans^levfond par
*• dès' E t un -p#ü plus haut :■£ Ees amiés^apierçoi-
« vèht-elles up poisson vofaééj elles se jettei#sur lui
« plus fosses nagent autour en rond, et s’il touché à quelà
« qu’une,d’elles, lés autres la défendéht^ >v Aussi OppiOT
leu^donne^tpl l’épuhète d% f é r o c e s et çlit que pillfst.'
C o n n û t p- '4a.*—i 2. Sisso, '2.' édit., et 419- *•- 3.. Aristote,'-iÊist.
anim., L IX ,ffe. ù’ff&fy 4. Aristote, Hist. anim., 1. IX, f. Oppieny Hal*j
t. I, p . 107. '