cessent dès la : treizième; Les .derniècesysônt nue peu aplati^« Le premier
interépineux de l’anale s attache par. un ligament oblique à la
quatorzième. vertèbre, et inêüie plus ayant. Les inter^dneux.-dej la
première nageoire dorsale Rattachent obliquement depuis! apophyse
épineuse de la troisième vertèbre’jusqu’à celle dé la huitième^ ceux
. de la seconde, âëpùk . là. seizième à:1a dix^-neuvième. La :d'efniér'e
vertèbre; ou la caud^v dO'fl'priuiée: verticalement eiï'étentaif, a de
cfeacjfae côté une petite -'Crête' -osseuse* en* formé dé iefôcbçnÜl
Les ligures du maquejeau jo n t nombreuses ; maisil n’y
en afpeqt-Jtre aucune qui exprime parfaitement sa phy-
swmomie, ni la beauté »de ses, teintes.l *fi
..Chacun sait que le maquereau est un poisson de -passage,
ét» que ojest après le hareng -celui dont on fait, dans les
mer§ qui baignenrle nord-oùesï de^fEurope, lés pèches
lés plus àbôndam^'et leTpltis **,1 _
Rien n’est plus dqhnù que*la marcKe^tradee par Anderson
aux migrations' de'nos^ maquereaux. Ce pdipoyi jpasse,
dit-il,, J’hiver djîjis le N o r ^ ÿ r s ’ le printemps ’il^ g p ie
l’Islande, l’Écpsse, et l’Irlande, se jette dans l’qoëan Atlantique^,
ôù une :c<§lonne ,-en pâ^sjant le lo,ng d ^ PpfA^gal É|
de l’Espagne, entre dans la Mediterranée, tandis que l’autre
teûtre dans la ]ÿfan;^^f^ ’ paraît-' m'-Wâi surlfes éSâfàës de
Frà'ùlfçet d’Angleteff éyjet passe de la, en Juin, de’^afff1 éëales
de la H o lîffd e jjf de‘la FriSe. Çetté déu x ièin e^g jô n n g
étant arrTvéf en J ÎiÜ ie tSH ^ ^ fijB^j^u Jutlancf, détache
une diyisipn, qui, j|js^nt lé^tour 'de’ e^ite' pyesqÿjie,,
, .1. Bék;n, p: '2p2j.Rondeletvp,;23'^; Gesn.fr, p_. 84*-;,iUdrQ^de, p,^$p. ;; «celle-ci
est tres-maimw. Salvjaiu, p. 2 4 c est une des meilleures - Wdlughty, pl M, et
Klein, Miss- Vf p l .4 ).fig.J>d io p ^ trq p minces; D u h a x n e l ^ ® S " 1, a
une fau ss^^fo ia^d e trop ; B lo c F ,'^ ! .^ co^létefranfcÿcïdpéâle méthodique,
% .-£% ,‘à i^ ig& é ir d d f e ï t f d p ré|UHé#Cà; AScâii> pl. 3 , mâüvàiïe;‘©onovan,
p, ta s , up peu- trop lourde',iete-^d5
pénétré daps la mer Baltique,>-et le r e s t e e n passant
d e v a n t-teuNorwége,, s’en retourne dans le Nord. Mais çet
autèür né ;contrib,ue pas à- accréditer un récit en,lui-même
siqpeu vraisemblable ,*J.orsqu’il ajoute que le maquereau
n’étant, pas propre . au;-commence jet excitant peu Fatten-
tiop., il n’a p û ^obtenir.- çes.<renseignemens que de deux
pêcbéh1.’^ d.’II:elgqlqnd.1
D’autres-pêcheurs, cités par Duhamel, rapportent que
\es maquereaux passent Driver, dans différentes baies ou
rades de Terre-N;&uvîe, qu’ils .s’enfouissent dans la: vase, où
ils demeurent jusqu’à la fin dp-rMai, temps ou les glaces
leur permettent de se^répandre en grand nombre le long
de'Sÿ,cp-tes, .etoù l’oii èn prenddèeauçoup, mais qui ont
encore alors-.un goût de .yase ;désagréable> ce n’est qu’en
Juillet e t:611 Août qu’ils-y sont gras-ét de bon goût-
L’amiral Pléville-Lepley, vieux marin, qui avait navigué
pendant cinquante ansÿ avaiti-communiqué a M, de Lace-
pèdg une ^observation qui confirme assez ce .récit. Il assurait
qu’au Q-roënland,-dans les petits êpfoncemens entourés
de? rochers,.qui bordent toutes ces cotes,'où l’eau est tou-
jours «calme,lejt dont le fond pstngénéralement de vase
molle et de fucus,?il ayait yu au^comUiencement du prin-
tempg^dqs maquereaux par milliers, la tête enfoncee de.
quelques..ponces,;dans.Vlêr;vase, .«et-laissait verticalement
jeuir queue cleyée^u-dessus du niveau,-et que ces amas
de. poissons.* étaient tels qu’on pouvait de loin les prendre
pofir dçs jespèces, d’écueils, Il supposait qu ils y avaient
pas^i^tiyçr/epgourdis’ qous la glace ;et-soxLS l.a neige. Il
1. Anderson-, Histoire naturelle rde l’Islande, du Groenland, etc. ; traduction
française, t. 3 p.-i-gê';et v%f.