, tout l’intervalle desdobes est rempli, par d’innombrables eoeéums,
^répartis enr grappeq|*ri réunis- pan<d|ss xaisseaux efefde, Ja çellufôsite,
dg mgjM^re;_à dtttttfaanpËéas. Ils,s’insèrent ;dans
l’in rpsiin pn ivÆjix ^n dm ts se u lem ^ t^ o n t 1g |)renug^pt un peu.
am-uSsOus'"de Tmlêfifen' du canal choïeaoquë. L?èstomac'est un
grand sac A g e * et' aussi long', que $âHdomen. Le canal anléstinal ne
fait ,que deùx^pEÿâvant de prendre ’sa^dirfeëdën vers l’anus. Il*garde
.’àlpëui^rès^paEtdùtdÉmême^directfeniifeï
l ----- »■■ ■
LeIGabinejL, d ’anglptitijej d u Muséum:, p.o$sède la t ê te o s -
s e i^ e d ’u t^ g r a rM v o i li^ ^ u ia j é t ë r a p p o c té e d e s S é e h e ll e s
par*. M., Dtfssumier.
musëa\i- jusquà^roGciput, et**:tr6is’pieds' six%poucesljusqu’au bord
de l’opercule' ce' qui annonce un mdmduj.de quatorze pieds s*Sa
composition ne difière point deeelledu xiphias, mais les os», offrent
des variétés assez congidéraMes dans leurs proportions. j|
Ainsi les intermaxillaires, les nasaux se portent davantage .en
arrière; l’èthmoïde tient moins de place àla base du bec; les frontaux
sont bien moins alc^fgéspt beaucoup plus larges; toute la partie
pariétalëf4o'cSpitalè' et mastoïdienne 'est plus *étenduri‘ Les .cretes
’'^ntCTi^diàuefe c f latérales dû'*crâné* sont plus saillantes, et surtout
* bëâticoujfpl^sJâ^d^^^iSt» onifleurs pointes postérieures plus considérables.
Iiorbite est moins grand, et le sphénoïde antérieur plus
rapproeké -du crâne et^forumntune cloison^verticale plus élevée.
Les pièces jde la lame, sous la jou»»;’ ont .aussi .plus ^ de ,i développement,.^
y.aa
, Le ^us-orbitaire se<pomppse.de^trqiypièoe^; l’^térieure.JA^ug
et étroite sous, l’oeil ; . les deux autres plus petites et en arrière de
l’Ormte. /
La^pmhte de’ b*,^âpKdK’e infenëûre'fârme un os sépare, qui
s’iartieulè avec leïfeste.
.Le surscapulaire est. profondément fourchu .et-a deux longues
apophyses, dont la supérieure est augmentée d’une lame latérale.
Le scapulaire est en rectanglevnince et étroit; l’huméral est grand,
élâf^iiau-d^®uÿdeda^ec|oralesest ufie sqrface triangulaire» Le
cubital est aussi très-large, creusé en- gouttière peu profonde; le
radial, gros e tc jÿ rtj'n ’a qu’un petit^rôyi Le coraesoïdjen estipet,
* màfe^peuvdôngé^l^
dLée^pîftsson leur donne une force
le plus long et le phis $>rt,
* èsf^^^ioï#etHra*eplianf'^ë'nïî^uné^lattre *dê*sabre? Les six ou
* huirisuivans sont fourchus et un peu branclus vers de bout, mais
-» très-sol ides etsans apparence d’articulation', les derniers sont courts,
très-divisés et*étalés à leur extrémité.- L’on n’y voit pas non plus
d’articulations Lp* toqt forme une grande lameten .triangle aLongc,
aussi-inflexible qp’une nau^oire de'cétacé^et peut-être davantage.
> Le reste dm squelette a été décrit à Berlin par M'fValen-
ciennèsV#àprès*unej préparation faite par M. Ehrenberg:
U V a c<m pté.CT£t;.quatre,vertèbres ,,dont q u a to r^ ^ ^ in in d e s
ëym ^ eaûddep^tOi^p ^M&eeSÎ rétrcmes>dansleurmiheu,cpmme
'P81*- Im é ÉBSï
donnent"en avant deux apopbvse|, aplaties^ borriontaies, qui re-
çoiyent entre elles l’apophyse/épineuse de la vertèbre precedente,
qui est carrée, miïiçe, élevée, et s’étend presque jusque sur le m ^ B
de la vertèbre,.qui l'embrasse. L’apophyse latérale• de la vertèbre
Il y a.quatape paires. dlfcfoes. grèles.et^ g peu de^pjpgjxeur.KLes
..ABlerépineux^spn.t.peu élevés ; les antérijhrs,. sontlarges^ qt on||de
dom^^ c fê léO d érales, rie.
’ Tels sont lès voïlièiis rajipdftël'paf Baûts de la mer des
Indëf^et par M. Ehrenberg de la mer Bouger Le premier
était long de sept pieds et demi, le second de quatre pieds
sept pouces.; la têt€M$S£MGe'-4,e- n °tre Muséum en annonce*
Gomme nous,»venons; de le d ire , un de» quatorze pieds..?
Je lus crois de même -espèce »que celui que Valentyn