d’Algésiras, de Madère >de Ténériffe, êe Gorée, du Brésil,
de l’Ascension, de Sainte-Hélène et du Cap,. des individus
qu’il nous est impossible de distinguer de' ceux de la^Hé-
diterranëe. Tout au plus varient-ils par fétenduè de la
tache noire de la dorsale et de l’anale, et par le plus bu
moins d ’apparence deft,cglles des .flancs^
F ors ter çn .avait aussi dessiné à;San-Iago et à rAscension,
qu’il avait très-bien nommea scornber giaucus., S es-dessiné,
conservés à la bibliothèque de Banks, sont parfaitement
conformées à notre^espèce,^ sa description, publiée
par Schneider dans le Systema de ^Bloch (p. 53g), le serait
aussi de tout poipt, sansJLes nombres des payons, qui sont
portes à^irigbhuit pour la seconde dorsale, et a-vi^gjc-six
p q u | l’anale. ,
Dans un autre endroit1 Schneider a fait, Je., ne sais que]
mélange, .de la description de ce scornber glaucws<w$&
celle de quelque poisson plus, ou moins Analogue au ehoe-
todon glaucus ou .à. Yacünthinion ,Jdont nous parlerons
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M. Bôwdich a dessina, encore à la Gambie un individu
très-semblable,aux nôtres; mais ne lui trouvant que quatre
épines libres sur le dos, il l’a n^mmèltchm teiracantha.
Nous ne- pensons pas 'que çe spit un caractère suffisant
pour en faire une espèce. » _