Ce sont deux petits groupes qui ne se? joignent point
aux véritables membres; cfe la tribu aussi intimement <[ue
ceux-ci^se joignent entre eux; mais lès distributions natu-
relies sont nécessairement sujettes^ifcesapparentes anomalies.
La nature n’a jania^ê^èu' en vue dan£ ses «créations la
symétrie de nos méthodes.'^
^ CH A P ITR E , X.
Des P>‘/q j.Rafin | l | e£ des Elacates
DES FILOUTES, -
* ’ E t v
Le pf/ofe^âîtôi iionamé 'de l’habitude-qu’il :a de suivre
ou 'd’adé%'mpagner W-navirèèV'l^ié cellè qu’on lui prête
dÜW d u ire le requin, est u n ÿ 'W ô rt qui tient de plusieurs
de “ceux qüi ^p^hderit ; il a des maquere^ixx la forme
oMèngUë^itf pteu? eotapriÉëé^- etf§|s écailles menues e t
unifo:f^ei-x'demthoflsdaVcaT.ènîé^ea®tilagineuse .des * ckôtés de
la queuè^mâiâhlis^dîStingrfe^^uns et des autfès^par sa
p x fe ln ië ^ d ^ fé ,' dontdes rayons <Stmt 'libres comme’ dans
" les licli^os: ' ^ ^ .7.^ . m
‘M. Rafinésque en a’' fait un gënrêèâ’spâï'T, qu il appelle
naiic rattlfükk ïvlif'èaracÿré qui! lui donneyde,^vèhtrales
umes^^fe®Së, -n’est'hiÆez:.nbàf6Tme à la ^éti-table dis-
poSfàiei^de'&e^nWgeéires, nilassez taïacféristique.
‘ ^ G ’êst d’âp'tfëS la 'Èéunfo'n^ des'traits que>rious: venons d’in-
diqueii1, qüé-forifgeut distingue* hé genrerplusi-sûrement.
: Lès bandes, ar^êritées ’et violettes dotit 1 espèce vulgaire
est drnétf; la rendent d’ailleurs très-facile â^rqconnaitre.
11 nous jîa r a ^ e om m e S c h n e id e r1, que n o tre p ilo te
i.Jfynan. pisc., Artedi, p.agi*