rieure, et tout nous porte à croire que c’était précisément
notre thonine ou toüna. Cette terminaison féminine des
deux noms nous semble donner de la vraisemblance à
cette idée. On a pu remarquer dans- tout le|cours de >cette
histoire combien il s’est conservé dans la Méditerranée de
traces dé la nomenclature -des anciens.
Selon sMq IsMote* Oeôffiroy j le; suomber quadro-punc-
tatus de sanfîpèffigi, qui. est'notre th o n in e se Ihomme tenu
à Alexandrie^ Cfest sans doute une corruption du mot thon.
L a T hoInine du Brésil..! .
^Tkfiiniis braMUënks, n èB .p *
JNfous ^von^riiçii du Brésil; par f e p ^ ^ d ^ f e FP6■ thonine
qu’il nohsjest presque ijupossÿfel© d e distio|per de
celle de la Mediterranée^:: .
‘ Son préopercule est un peu plus ctiutt ; plus' également arrondi,
® ët d ie ï lës'dernierWlrsÈÿc&S'de doir§Él& plùs^bâs ët plus grêles j
m ais dû reste même taillé, même cétsèfet^mêmë nbEfiWÿdê 'râjfens
(D. 15 — 11 -y n ij l l i A ® 43^2 5ÿPP 25 ;V: M et:ù*ëkés?>S©uleurs,
sauf quelques différences dans les linéamens,,pqirs du dos,
qui p r obablement varient d’un individu à l’àutre.f,
. Delalande nous .a aussi, procuré. un squelette de cette
thonine du Brésil.
Il est long de dix-huit pouces , et i la -structure de sesiv^rSèbres
dans leur partie inférieure est très-différente de celle djes-, jfcons; et
des maquereaux. A compter de laihurtièmé> leûrs ^ 0physes épineuses
inférieures se bifurquent, ^et-les hrancbes se bifurquent .encore,
de manière à former un long canal entouré comme d’une
espèce de réseau, qui va en se rétrécissant .jusque.dans la queue,
où il se ferme, et où il y a des, pointes inférieures simples pour
porter les interosseux de l’anale. Les vertèbres y sont en, totalité au