très * côtes , à Marseille % à-B.ome <a ,* en Sieilf% on emploie
celui de’/?e/amiV/e, ou ses-altéradons, et l*on lyvsubstitue
quelquefois celùi de bise.4
Cette pélamidèV’cétte Bonite à dos ràyé', a le corps plus alongé
que-le thon, l’oeil plu^ petit, le musèâu plus long, plus.pointu, et
la gwenle plus fendue, jpg)
Sa hauteur est;’a peu pç|s cinq fois dans isa .longueur, et son
épaisseur, une fois, et demie dans sa hapteur.:.Là longueur de,.sa. té^e
est d’un peu moins du quart de sa longueur* totale.- Son oeil, un heu
^ïeqouvêrteh avant WeparrSre par ffieproaucudride la peau, n’a
guère en’diamètre que le sixiël^’clfe ra longueur de la têté: Le ^museau
prend déüx diamètres d’oeil ;etW*quiest derrière l’oeil'jusqu’à
l’ouïèy en pretM 'Irtôîs?5 Là ■ houélï^sYXèh'â’Sfe1 de Sîâiiierë que l-‘ex-
trémité du maxillaire arrive sous l’aplomb du Bordspostérietir de
l’oeil.. ; i
Il y a à.chaque mâchoire une rangée ide d.ents coniques ,^grêles,
un peu comprimées ,; un .peu arquéeg , ycts Myd^ ans d.ë la'bouche,
très-pointues et bien séparées^ les unes des autres. Oh en "compte
environ vingt-cinq 3ë ' , pt
vingt à l’inférieüre ; la Yroïsième de chaque*feoté en'bas^est plus
’ rentrée 'et? pïû’sPgrande que se's voisines : le palatin' en'porteVühè
rangéè' de très-petites le long de SOn bord exterüe^j mais le Vômér
n’en, a point.
La cpurbure du préopercu|e n’est pas en ellipse, mais son bord
. mautant, et. son bord horizontal font enstànble un angle un peu plus
queid^ojl et dqnt la pointe ésharrondiê. L/ensemhle operçulaire est
, mieux arrondi; salàrgéur' d7avant eh arrière est à peu pres le.quart
de la longueur. de là "têtu La ligne de séparation de l’operculé et du
subôjiercule, et ceîfêtdü sübdperculèret de Tin terbberctdh, ’'sont à
peu jjfés droites * etl’aussi’ inclinées l’une que l’autre, quoiqu’on
1. Brünnich, p. 6 9 .—, S » / j f o l . A23,, yêrso. — 3. Réimesgue, CaraiUri,
p . 44- •— 4. Rpndelet,;&£. çjtt. |
6. O11 iie sait ce "qüt veut dire Bloch, quand il prétend n’avôir pas vu ces dents
palatines dans d’autres poissons*
«cas contraire*: ellè'%se rencontrent au»,:bord, du pi’ëojaercule par
un- angle-ttièsrpeu. obtus., jpÉpp|| tp i i-slfe. ~ (pf|tj
La peetorale,;,est fort courte-, et du dixième seulement <j<V;la lon-
i«ueuç;tptaie les ventrales-le sont encore un peu plus, e^n’ont entre
elles qu’maeftrès-petite écaille pointue. La première dorsale com-
ta ^ c ^ u ^ v is^ ïa base d es pecïorale^^depasse le milieu^ du corps.
[Sel^aÿons ne .sont pas très-VÔbus[èsflès anterieurs', qui sont les
plusdongs,'ont à pempïèshioitié delà hauteur du.corps j ils^vont
en décroissant jusqu’au vingt-deuxièm^ qui, âért àtpeine de la peau.
'Aussitôt commence là see'ondè ^orsale, qui est petite, basse, ecâil-
leuse; .eja deux épines- etAreizè rayons jnous réelle est suivie tantôt
I de, huit, tantôt dn, neuf fausses nageph^.,. L’anale comgience sous la
, et.a de même deux épines .^treize rayons mous :
sjgpl fausses’nageoires j^uivent. iLn’^amamt d’épme libre au-devant
de l’anale. Laqueué et la caudale sont crQme (Tans lès thons, savoir,
qu’il-y’a* la grande carène du'çotë dé la q ^ e flesdeux petites entre
les bases dç la*caudale;,et Çfi’en comptant lès petits rayons, l’on en
^tr^uveràit'trente-six
b /T ; D". 22 — 2/ l f j 'etcr - '
Le corselet est moins étendu que dans ^aucupeeshèce du genre
[clef'thons j il est^échancré jusquesiw^^ararit, ^^toute l^p^mière
[dorsale’,^ t saVpointeTa'té^em^passe^as celle de»lf pectorale,
[sous, laquelle il est échancré encore jusqu’à IW iJX a poinüfé infé-
Irîeure dépasse^ peu les ventrales ;>jmâi‘^|ur‘ le d hsil“0compagne,
^omme toüjours, la première dorsal^jusqu’à. son extrémité postérieure.
La ligne latérale est un peu flexueüse,;et; garnie^d’une rangée
de petites écailles, qui grandissent* quelque peu a^sa partie postérieure.,
La carèn&oet ,le§; petites crêj,e^ des cô^és. de la queue sont
comme dans les thons. Il y; en a^cora-me à l’ordinaire, d’alongées et
irrégùliè’resh k jouefcell’es du reste ducfrgas sont si fines qu’on n’en
aperçait l’existence qùoesur. des peaux très-desséchées.^
La couleur, dë^e poilson est argenfeè^t têihte sur l^dôs de bleu
clair. Iles lïgnes'mqirâtnes, qui'varient pour le«nombre etpour réten-
dnè., se dessinent sur. ce. fond, en descendant très-obliquement d ar-
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