plus tard, et en a fait, dans son Système posthuméÇ un
•genre^ particulier, qu’il & nomme rhjnchobdella (§angs.ue
à bec). M. de Lacépèâi (t. II , p. 283 et s u b î ^ e s î a jg t é ,
en formait son gerfte macrogwthei et ce qui est singulier,
bie^ que„ trop ordma||bvà ^es'^eu? naturalistes, ils -'®
bhaient tous les, deux que bienjrvânt eux, e tfd è s '^ iÿ y
Gronovius en avait décritexaetéinêht deux espèces,'dont
même il représentait une2, e t égayait déjà fait, u n genre
v nom de mastacembelus\^Avant fîxon ovins lui-
même une espèce avait été assez bien figurée dans Niauhof*
et daprès lui dans Will^ghbyet dans Klein j.àt ikslen
trouvait pans Rûyseh^ dansYalentyn*: et dangdlenard^
une représentation grossière d’une autre. Enfin ,i Alexandre
Russelen a &it connaître une troisième dansîsôn Histoire
naturelle d’Alep7;,et même c’était de lui que . Grondvius
tenait la première des siennes.
La différente forme du museau de des poissons j ;et le
plus ou moins d’union de leurs'nageoires verliedes,- nous
ont paru motiver leur division en deux, genres y auxquels
nous avons laissé les deux noms imaginés par Mo ch e t par
Gronovius, affectant celui de rhjnchobdelles aux. espèces -
ontde museau eonoâVe et strié en dessous, et les trois
nageoires verticales séparées $ et celui dé mastacemble gR
celles dont le museau est simplement conique ».sans stries
ni concavité, e t dont les hag.eoires^Verticaié^'sont plus ou
moins complètement réuniesWc
, b P- 47«- — 2. Zmph., pl. 8 a , ûg.j t . _ 3. lb ., p. ,i3a oU33 *~
4 Iheatr amm pl, % ,2 i , p a r ^ s ^ s jh —.5 * °3_73, ïkan-gaya (.poissop
e ep ant). 6. Rondelet, paît, i , fol. ijp %*y8, g a ja ; espèce dfr p'J&sonide
paradis. — T. Alex. Russel, Hisl.'natAof Aleppa, p . y j j p l . , fig. 2,
Çes Boissons habitent lei eaux douces ded’Asie, et l’on
en a teojuvé depuis la^Syrie jusqu’aux îles de la Sonde, aux
Moluques êt'àîJa.Ghiüe.
Leur.', museau doit leur fournir uü organe délicat de
toûchçiyèt ilrparaît qu’ils l'emploient ^rechercher danS la
vase lés petits vert ety|utres.substaôê^s frêles dont ils su
noufrlssen|j',^ ^ H i p f ‘Jh
Ils n’ont que deux petitsnêlcÛins\ ef'cM pWie remarque
que nous avons fai$è sur un grand ^nombre de poissons
d’eau douce-;, qu’ils ont en général moins de coeçums que
les autres poissons des** naênjés familles j règle qui est cependant
sujette, à quelques nx^éptious.
Ils-passent généralement pour des pOissoîts de bon goût,
dont? la chair a du rapport'avec celle de l’anguille, et même
c^âL'sdus le nom d’anguilles qu’iîs parâîsseiat suf les tablés
des Emupjens,1^
r: DË*S RHYN'ÜKOgËËLLES.
Cêtte première division a le muSeau sensible et mobile,
mieux organiséque l’autre. La possibilité où ibest d’em-
braisseT >les°'éorps dans sà concavité^ les rides ©H stries régulières
qu'offre sa face'inférieure, doivent être des moyehs
plus délicats de percevoir les objets Extérieurs.'
Nous n’en connaissons encore distinctement quune espèce.