Les interégineuxr j e ; ^ l’anale sont très-rcomprxmés,
. en forme 4e lames longitudinales ej^conâkjjes. ,r
Toutes tces disposkihnjs doiyêntTaisser peujd^flexibilké aujcoips.
L’avant-dernière .vertèbre unitîses apophyses èpipensèsxau^i <hqrds
èupêriaur et» mféxdeiir de la^dernjère, qui a de chaque êoti.une petite
crête. |
’ Les côtes sont simples et assez courtes. La première, paire est- un
peUydilatée. *
•Un ^ d ^m àu sli\em a rq u ab le que fësBTdH^p^sa taille
e*" P?F1s^ i^Qn^orma^^on-%CPu^ ^ ^ 1i^Oi]|;é>à aucune époque.
Tous les anciens en parlent d j n ^ [ ’èJâ qu’il leur
était fortf^céulnuj îfô'tfe^^enl^p'n arme et les coups qû’ellë
jpd^e ? les gombats" ijull soutient, les attaqüef qu’on lui
livré,dp ïus'es par lesquelles on l’attiipf et ils les déCTivèiit
à p^ü'prës^bîbme’les taoderties;? ■'
f fd lé r i^ c hV IPb îfet d a ^ r tm ie la' Méditféfràiîé^^aîs
cj^st prfes^cle *l^gim ^ ^ ^ s ^ r to u t d*8t é n v i ^ ^ f® Phare',
qu’il'^en voit lorttfs. Dës’Jé te ^ p s fd ^ ^ c iiM % if J w t
en* grande e^imé cèux cful^ès ■ »
En Sardaigne "on nenl®end,’quë ’tifi^.eu, pt seulement
à Tépçque du p a s s® àesj thons, dont ÉSpaSon**eom-
pagné quelquefois les colonnes. ÛeSt'f^é^neV^ittÇetti, si
sur toutèïf les cotes dé' Mte il s’ëtT prênd deux douz&ihJlF
pàï arth'Sg^é'ÊForr enrfait d’autant moins' dé^êbifqîtë , q^ifs
sojit de grandi taillé' ëts’o h t ^ ’^l%te beaucoup l’fgë^où
leur chair" est terfdrê^ê^ âgrêhbië.3
Getri4,^ c e tte ôâ^Midtf^ait remarquër cbmbîen'sëtrom-
pent'ceux qui, c®mtne Paul Jovë^j^étrèndent que l’espadon
J. Ælien, 1, I X | 1. X I V , |O p p i e n | , ^ | I I i 4|^ > et I. III,
Ovide, Hal., v, 1, XXXII,.e.^ eCu^etc. — 2. Arckestratiis, ap. Athenn
}, YIIj p. 3
-poursuit les thons., et quéH^ésfr même la’peur qu’ils en ont
qui les •oouÆrai'ntàilç.urs gpandêi^énîigratidns; Il ne fait'pas
plus d)’imp®ésSion»sur les thons, dit-il, que ne feraient leurs
■sernhiablek^tibin cl’ellfe ennemis, on dirait que ces deux
^eplçea fdéipoi&sons ’âkeonnaisâént^gt aiment a se trouver
ensemble 1 ï\.
Nous /avons %j®a|E®0;up^®i et mangejde’ petits espadons à
Gènps-^jg|Lmffefc0iiity.m<e/;d© leur. couper le museau avant
dei|és>.j]iortèr auimâr^bf| j|» |
Il!p® viÊntÀ^éée|st0i4le l'annéei,,ei&tTtoul au printemps,
qui pèsent depuis deux jusqu a trois, cénf-cinquante ljvres.?
-Mousiervaî^ons ùkç*i|i»n jtrèkgrafid de'”Ttoulon^et M. Savir
-guy nous*en-a apporté d^;i^aplesü.defpliisieurs tailles.,Selon'
Béïqja, l’e^p è.oëikst? ass e-z sur l^ lco tesLde(Francè,», maisle
» même auteur la dïW^pxnmune^kGonstantinople.3
dE fa u p r étend;. lue m e , qu’d.y-en à, et de fort grands,
dansfie Danubë s cependant Pallas ,n’en fait aucune
me^tipn dans- sa tZdo^raphie^ russe , où' i l a traite »avec
dé taib.de »plusiéursi ppisao-ns dp! Ja nier Noire. ^
\ hiespadon, surtout fadulte, sprt quelquefois de la Méditerranée,^
. et j remonte ^issezt hau,t| .dans le nprd>» Il | s’est
montré le long des ^dte&jdedTspaghè .sur l’Océan5^ ,et vie
ternig^igf i ^ mps on en» prend sur celles de France6. Pen-
nant.cjuJcjtkun, pris sur la,c,ôte duiCpmté de Gaermarthen,
dont l’épée,.avait^-trois pieds de long7. Gesnefjt} en donne
une figure faite sur.la .mer d’Allemagne8. Oléarius,9 et
Sehelhammer 10 en o ^ d é c d -L e t représenté des optes du
1. Cetti', t. III, p.;,i45. ^ , B îssq, p-.VPP-g T 3. Bélon, Aquat., p. 1.09. —
4. Ælien, î. EM.VycV23. — S.'Cortiide, {». ‘Æ&i- 6. Duhamel,’ sect. 9 » P- 334. —s
7. Brit. zaol., t. III, m?$p,'!.p. 1 45- rrf 8. Gesner, Fisc., p. 3 8 ^ 7 ^ 9 . .Cabinet <j£
Gottorp, p. 4o, pf.jj3. — 10. Anat. xiphicepiscis, ap. Val., Amph. zoot., t. II, p. 102',