2 ; LI-yRE^EO^ÈIiE, *
propre s’altère par degrés , et pake inséusiÉblëment à d ’autres
; dans lesquelles on né^re^rouve' ni ce‘ë&ractère „n i
presque aucun dejeenx qui l’^eeOTapa^nent dans l#s premiers
types. Des eèallles* ofdinairémexrt'trèS-petités, qui
font paraître la plus grande partie de la peau comme si
elle était lissf5 dés n ^ < ^ s |v |rq c â le s non éè^filleifses 5 des
Ç^fces opkrculaires sans épines Ju dentelures 3 des’ cæcums
généràlemÊntffoombreux ^ o i l à .presque tofe ce que l’op
péut en m e de général, ët cèpëmdant ils onfïôus un air
de famille qui ne les abandonne dajis^ aucune, de- leurs
modifiqitibqs ; en/sarte qmik forme® Æf que les botamit©s
nomment une famille par série au par transition. La plupart
v ont cependant les c%és de la queueicæfrénés p u armés
'd ’écailles pu de boucliers eux-mêmes carénés ,^eu bien les
derniers payons de le u r seconde dorsale e t de leur-ândié
_S0nt Kbmy'Ou bien gueore ce sontJes rayons épineux de
la première qui manquent de meinbrane iqui les»ùnisfêe.
Le plus souvent leur nageoire caudale egf d ’ujte dimension
et d’une vigueur remarquables. Dans J[a plupart encore
les premiers rayons épineux de f anale sont séparés.du reste
de cette mgeoire,; et endorment une petite et distiMtè.\
Mais aueu® de ees caractères n ^ é ù r est commun
et même On pourrait dire^qae la transition va* jusqu à en
rapproche#, d’une p art, fâes poissons en ferme de rubans,
dont on a formé la famille des ténioïdes,' de laiitre leS
accÉîthures, ou n^ême les sidjans. En un mot, aucun groupe
dlacamthoptày^fens ne prouve mieux que ne le'fait celiii-
ci, que’ cet ordre, immense par lé nombre des genres et
des espèces qu iWembrasse , ne constitue âfu fond qu’une
seule famille , et qu^ les divisions de ce ^degré que l’on a
essayé d’y établi]? sur dfes bases p k s on moins constante! ]
(t.vm, p. î.)
POISSONS O S S EU X .1
JCJNTBQPTm-Y&IBNSÏ/ià
SCOMBÉROÏDES. Les pièces operculaires sans dentelures; les écailles petites et tisse»;
pes’n^eoires verticales géncralemeattuon enveloppées tl'é.cailles^
A première dorsall continue; les rayons de la deuxième et de Vanalè séparés
en fausses pinitules• *
La premièrilfol^e! laissant un intervalle entre elle et la seconde.
Les. écaillÿs également petites partout.
Deux petites crêtes de chaque côté de la queue. »
1 Maqçeheacx.
Les éiàfllès- du •éhoéàx plus grandes formant un corselet,
U^Ppurêne de chaque côté de la queue.
. : Aüxides.
La première dorsale s’étendant jusqu’à la seconde.
Lin coifelet. '•
Une carine de chaque côté de Ja quene.
Dents ipetites.oji médiocres, serrées.
' THOHS.
• '^^ièrÉs-fortes j ’pointilesj séparées;
, Pih .\«m ES. ,
Point de cd'rstJet.
Une carène de chaque c&té de la queue.
Déhts comprimées, pointues ? tranchantes.
TASS ARDS.
Point de carène a la queue»
v • D en t^ ^ o in tiie s, tranchantes; les antérieures plus longues.
Th ïRSITES. Yentrales complètes, quoique petites
GEMPïles. 'Ventrales réduites à de petits vestiges.
Une seule dorsale continue ; point d’armure éeaiüeuse à la ligne latérale,
Point de cors filet-.
Poi&Pç'àffjaws.
Taus ou une grande partie jhes rayon? de Vanale réduits a dfe trhs*
: petites épines.
Dents' des thyrsifqs et des gempÿlee.
Lépidopes. Une petite écaille au lieu de chaque ventrale ; une
iCV^OTudalè. •
Trichiübes. Point de ventrales ; pointée caudale.
% Ce tableau sera continué dans le volume suivant.