Mai# M. de Lacépède est plus étonnant, emebre que tous*
«es prédécesseurs } | il 4aitî*du is p 'mber amia, qu’il prenu.
dans Linnæns et dans Artedi,mn caranæ amia, et blâme
Bonnaïerre devoir fait 'copier >sous< ce uSftwMp la figure d u
Salvien, qui 'était cependant la meilleure- de> toutes’*. Le
scomber glaucus àeviêM aussi pour lui uiï caramx glauque,
ët'icépendant fil lui laisse "pour synonyme la figure
du prëmfeÿ dé Rondelet, qui assurément^neMlon-»
usait lieu- a aucune équivbquj&^et ne' pouvait èfete - prise
pôiir un eardrm. fi;-
- Maisrcé-ne’st pas to u t: daûsbson gëtire céntromrtè il
fait reparaître ‘ les deux glaucu$~ de Rondelet ^ savoir ) le
deuxième, qui est le sûàntber amia, sOus le nom de 'cen-
tronote vddigb % et le troisième souS**eClüi à& centronâte
glaycdsâf]êX?\\ fait' enCOrè’ urie^espèee^part} sons lefirom
de' centronote lyzan4, de Yamià mé Sâlviani",^ qui-est le
.même jpoisson et que“ son centronote vadigo et que son
Carànx izrhid, mais quici il identifie avec le lyzan de la
mer Rouge de Forskal, qui est unchorinème^ilrne fait
àUcxme^eEttièn du Yk;dmber*acideatu^ de’ Block,- ni des
espèces étrangèrèè %fccumulées sous^èê -
M. Risso^le seul depuis’Rondelet qui ait Connu par lui-
méiae les trois ëspëees de la Méditëi-fâfiéfe^en décrit Rien
les couleurs, mais eompte mal les épînés d e lents premières
dorsales, et ne trouvé^asdeuars vrais-.rn.oms, nLdans Rondelet
ni dans Xacépède. Son centronote glaÿcos ( p. rg4,
e ta .e éd., p. 429) uest point,' comme il paraîtle*crbp;é, le
glayco^de Lacépède ,*ou le troisième glaucu&de Ropdeleit,
iL Lacépède, .1. I I I , p. 65. — 2 ‘fcldfim>,t. I I I , j ). S jS é -^ -S . t. I D , p ^ j ( i
—4 . Idem, t. ÏH,|p Sfii; ‘
mais b ipnïle premieilï OU le, caranx; glauque d e L a c é p è d e ,
le Momber glaucusrsde Linnæus.« Son centronote lyzan
bien le centronote lyzan
de L a t% ^W ^ se^ s diu1^ ^dlui-ei lui donçe pour
dé'Salvièn; mais oesfr aussi le.deuxième
glaucùs'$e‘* RoncÉl^^qu.dè - caranx amia, et le cen-
tro^MOte^vtidigo Èjm Lacépède,, le scomber amia de Linnæus,
-et ‘cp^nlssîk, rien,mojns que le.lyzjan, de, Forskal.
Enfin;. Icçntr&%io£e vadigd (p- 19%, et 2.e édit., p. 4^o)
ê |t le troisième'$fèlatici£f M?ê“Ron(fél&,v’ou le centronote
'g ttym s -de Lacép'èddÿ qui fi’eUfî point men^onMé i|aus
Linnæus.'1 v
—Mous espérons q u e n o s le c teu rs n o u s p a rd o n n e ro n t c ette
longue discussion; elle é ta it nécessaire, p o u r faire voir dans
quel* d é so rd re sont, en co re quelque» p a llié s de fh isto ire
n â ferë llë q u ’il àurmtvétééi facile d’éelâircir, si l’on e u t c ô n -
sulté la é a tu rè ^ £ l*dont o n n’a cessé d’au gmenter l'obscurité*
p o u r .avoir y ou i u. travailler sur des descriptions d a u tru i,
sanSu.apport.er travail l’e sprit d é tr itiq u e , indispensable
pour,0^éuss&<r;;tar.il fau t b ien rem a rq u e r.q u e .ces diver-
gences-ne v ien n en t p o in t dés,'Cér q u e chaque a u te u r aurait
fa it’dès observations p a r tic u liè r e s q u i ne se se raien t p o in t
aè^b td é és av'ëc%àlës*-de sé'^pféd’ëéêsseurs ; personne e n tre
;Willughby e t M. Rifsb" nWâSt- rien ô .b sé r# ; A rted i’ avait
copié W il lu g h b ÿM ltô u s l e s ’autres avaient copié A rte d i,
so it im m é d ia tem en t,, so it^ p ^ .ç o p ia n t Linnæus.,
C’est à»-peu près avec la mêrne ’©©nfiancé q u ils o n t to u s
s u p f f o s d ’après , R o n d e le t, q u e , ces poisson» é ta ien t les
glaucus des anciens. Rien n l ë S t , moins--prouvé ; o n -p o u rra
it d irqm êm e q u e c%sî’J e contraire qu i l’e st, car Aristote
d it q u e 'le ' ^ /« n c n f ^ l e s 'â p p ë n d ie é s d u pylore en. p e tit